Je serais absent du Vendredi 17 décembre 2018 au Lundi 27 décembre 2021 inclus.
Je vous souhaite d’excellentes fêtes de noël.
Vous pouvez réserver votre consultation sur le site, je vous contacterai des mon retour…
Amitiés
Claude Sarfati
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Amitiés
Claude Sarfati
Une formule bien connue des Upanishads affirme : Sarvam Kalvidam brahman, « en vérité, tout cet univers (ou tout dans cet univers) est Brahman », est l’unique et éternelle Réalité suprême.
Concrètement et immédiatement, même si cette réalisation vous paraît lointaine, tout ce qui vous apparaît désastreux, déplorable, anti-spirituel n’en est pas moins une expression ou une manifestation de cette Réalité ultime. Et refuser les conditions dans lesquelles vous vous trouvez, vivre en porte-à-faux avec ce qui fait la réalité de votre existence ne peut pas constituer un chemin de libération.
Il y a différents points de vue, différents angles de vision de la vérité. Certainement le monde moderne qui a donné la primauté à l’avoir sur l’être est pathologique, la société entière est devenue divisée, schizophrène, mais c’est dans ce monde que vous vivez et, tant que vous ne l’avez pas quitté, une attitude négative vis-à-vis de ce monde ne pourra en rien vous faire progresser. Le principe qui doit toujours vous guider est celui-ci : « Pas ce qui devrait être, mais ce qui est. » Et seulement ce qui est, dans le relatif, peut vous conduire à ce qui est dans l’absolu. Il n’y a pas d’autre chemin. Ceux qui se contenteraient d’avoir une attitude critique vis-à-vis de ce monde moderne, de le refuser, de superposer ou surimposer sur leurs conditions réelles de vie un rêve ou une nostalgie d’autre chose ne pourraient pas progresser et tourneraient même le dos au chemin de la vérité.
D’un point de vue, il y a une différence certaine entre ce qui est sacré et ce qui est profane et vous avez le droit de voir clair, de distinguer ce qui dans le monde manifesté vous aide à trouver votre Centre, à trouver le Royaume des Cieux, qui est au-dedans de vous, et ce qui vous apparaît au contraire comme des conditions plus difficiles ; mais c’est vrai seulement d’un point de vue. Du point de vue ultime, toutes ces distinctions, même entre profane et sacré, s’effacent et chaque instant de la réalité est sacré. Du point de vue ultime, il n’y a pas de différence entre l’abbaye de Vézelay et le centre Georges-Pompidou. Tout est expression ou manifestation de la grande Réalité. Et, s’il y avait une distinction à faire, elle serait entre deux niveaux de réalité ou de vérité, le niveau manifesté, apparent, toujours changeant, celui de la multiplicité, et le niveau non manifesté, non changeant, celui de la Conscience suprême ou de l’Atman, du Soi, du Vide des bouddhistes mahayanistes, la seule Réalité qui soit immuable, non dépendante, jamais affectée.
Et le deuxième principe qui doit vous guider est bien connu car on le cite autant comme une parole zen, une parole soufie, une parole chrétienne ou une parole hindoue, c’est : « Ici et maintenant ». Ici et maintenant, au sens le plus strict de ces deux mots, ne veut pas dire « maintenant au xx° siècle, sans nostalgie d’une belle époque à jamais disparue », mais dans l’instant, dans la seconde même que je suis en train de vivre, et ici veut dire exactement là où moi je me trouve situé. Ce ici et maintenant est aussi infime dans le temps et dans l’espace qu’un point. Et, si vous quittez le ici et maintenant, le mental peut repartir dans de grandes constructions brillantes et vous arracher à la réalité qui est votre seul point d’appui et votre seule possibilité de découvrir ce que vous cherchez. Je tiens à insister là-dessus pour qu’une dénonciation même impitoyable du monde moderne ne vous engage pas dans une fausse voie. Si vous pouvez vivre dans un monastère, au moins de temps en temps, faites-le, et si vous pouvez vivre dans une communauté de soufis, faites-le. Vous y serait en effet soumis à des influences tout autres que celles qui composent votre existence. Mais ne rêvez jamais stérilement d’autre chose que ce qui est. Et n’oubliez pas que votre progression ne peut s’effectuer ailleurs que dans les conditions précises qui sont les vôtres à un moment donné. Sinon, il y aura nostalgie, rêverie mais aucun chemin réel. Et tant que vous n’êtes pas en mesure de quitter ce monde moderne, profane, matérialiste, acceptez-le, adhérez, ne projetez pas une réalité de votre invention sur la réalité telle qu’elle est.
Si vous pouvez contribuer à modifier les conditions de votre existence, faites-le. Si vous pouvez contribuer à redonner un certain souffle spirituel à ce monde moderne, faites-le, selon vos capacités, mais méfiez-vous de votre propre ego et de votre propre mental. C’est au-dedans de vous que se trouvent les forces qui peuvent vous maintenir dans le sommeil ou vous aider à vous éveiller. Plutôt que de déplorer les conditions matérialistes d’une société fondée sur l’avoir et regretter les conditions plus spirituelles d’une société fondée sur l’être, soyez dans la vérité de votre société à vous, qui n’est pas autre chose que celle où vous vous trouvez à l’instant même, et soyez vigilants par rapport à toutes les productions et projections de votre propre mental.
Je comprends bien- je le comprends d’autant mieux que je l’ai éprouvé et partagé – que puissent naître chez certains le refus d’un monde matérialiste et une intense aspiration à un monde différent qui serait vraiment le témoignage conscient, dans cette vie du changement et de la multiplicité, de l’autre niveau, celui de l’éternité comme celui de l’unité et de l’infini. Cette nostalgie m’a animé pendant des années : je ne lisais qu’un certain type de livres, je ne voulais voir qu’un certain type d’œuvres d’art, je ne recherchais qu’un certain type d’architecture et je finissais par ne plus trouver d’intérêt qu’aux êtres humains qui pensaient comme moi, c’est-à-dire qui avaient découvert l’enseignement de Gurdjieff ou Ramana Maharshi ou le bouddhisme zen.
Il y a là un piège subtil d’autant plus grave qu’il se présente comme un choix spirituel : refuser le matérialisme pour donner la place à l’esprit. C’est un mensonge qui consiste à rester dans votre monde à vous et à nier simplement ce que vous n’aimez pas. La véritable liberté se situe au-delà de toutes les oppositions, de toutes les polarités et même de toutes les distinctions. Elle s’exprime dans ces mots sanscrits : sarvam kalvidam brahman, « tout dans cet univers est Brahman », tout.
La voie du cœur (p 42 à 45).
Editions : Pocket, Spiritualité
Amitiés
Claude Sarfati
Le mot japonais « zen » et le mot chinois « ch’an » qui définissent des écoles du bouddhisme, viennent du sanscrit dhyana et signifient « méditation ». La saveur du zen se confond donc avec l’esprit de la méditation assise préconisée par le Bouddha. Tous les grands maîtres de cette tradition ont toujours prétendu que les êtres humains se devaient de guérir, de pacifier leur propre esprit et que, dans cette démarche-là, se trouvait la solution des maux de l’humanité.
Dans cet entretien effectué peu avant sa mort en 1982, le grand maître zen nous parle de la méditation comme voie pour équilibrer notre entité psychosomatique aux prises avec les pollutions extérieures et intérieures. Ce mondo privé (questions-réponses) eut lieu un soir dans son appartement. Nous avons tenu à garder, dans la traduction de son anglais, toute la saveur abrupte de ce qu’il appellait son « zenglish ».
Nouvelles Clés : Quel est l’acte qui importe le plus dans le zen ?
Maître Taïsen Deshimaru : La posture. C’est la posture de méditation qui est la plus importante. Le zazen.
N. C. : Pourtant, il est dit que le zen n’a rien à voir avec la position couchée, assise ou debout ?
T. D. : Oui, l’esprit du zen transcende toutes les catégories. Mais on dit aussi que le zen, c’est zazen, que la posture elle-même est satori, éveil.
N. C. : Pouvez-vous expliquer cela ?
T. D. : Nous sommes sans cesse en train de courir, de penser, d’errer à la recherche de quelque chose.
Se mettre dans la posture, faire zazen, permet d’arrêter le mouvement, de stopper le processus de fuite en avant, ce processus qui fait que l’on se retrouve à l’heure de sa mort en ayant gâché sa vie dans l’illusion de la vivre.
N. C. : Le zen, c’est donc l’arrêt du geste ?
T. D. : Avant tout il faut arrêter les habitudes, stopper le déroulement du karma, cet enchaînements des causes et des effets dans notre vie quotidienne, le laisser filer loin de nous comme des nuages filent au-dessus de la montagne sans jamais l’emprisonner. Une partie du malheur de l’humanité vient du fait que les gens ne savent pas se libérer de l’emprise de leur karma, de l’attachement à leur histoire personnelle.
N. C. : Mais le karma, c’est aussi la famille, le enfants, les amis, le travail. On ne peut abandonner tout cela…
T. D. : Il ne s’agit pas d’abandonner mais de lâcher prise… Quand on dit que les moines doivent abandonner leur famille cela ne veut pas dire qu’ils doivent la laisser mourir de faim. Non. Il s’agit en fait de ne plus être attaché à l’esprit des choses, d’avoir une certaine distance par rapport aux émotions qu’elles suscitent. La compassion n’est pas sentimentalisme geignard, mesquin et confortable mais vrai amour qui aide. Et puis le karma est à l’oeuvre dans notre cerveau : karma du passé, du présent et du futur s’y mélangent, donnent une vraie soupe nauséabonde ! Vous connaissez l’histoire de la vieille vendeuse de gâteaux qui dit au jeune moine qui veut lui en acheter un : « Avec quel esprit allez-vous manger ce gâteau ? Avec l’esprit du passé, du présent ou du futur ? » Le jeune moine s’enfuit car il est trop sot pour répondre ! Le karma est aussi créé par le trop-plein de pensées, de désirs, de rêves qui s’agitent dans nos têtes. La plupart des gens font ainsi plus de sexe avec leur tête qu’avec leur bol ou leur bâton ! (rire tonitruant).
La posture immobile permet de couper le karma : Je dis toujours : Laissez passer les pensées comme les nuages dans le ciel, laissez passer, passer, passer… Il faut épuiser le trop-plein de pensées, alors le cerveau peut recevoir de nouvelles informations. Une bouteille pleine ne peut plus rien contenir ; une bouteille vide, oui. Mais pour bien laisser passer, il faut se concentrer sur la pos- ture de méditation : dos droit, bassin basculé, nuque droite, pouces qui ne doivent faire ni montagne ni vallée, yeux mi-clos, se concen- trer sur l’expiration la plus longue possible jusque dans le hara, le kikai tanden, l’océan de l’énergie qui se situe dans l’abdomen. Vos postures ne doivent pas être comme des bou- teilles de bières éventées ! Elles doivent être fortes, riches, belles, alors l’harmonie en vous, la sagesse apparaît. La vraie sagesse se trouve dans l’effort de l’immobilité. L’effort juste est le plus important.
N. C. : Quelle différence y a-t-il entre le raja yoga et le zazen ? C’estfinalement toujours de la méditation, jambes croisées en lotus ou demi-lotus !
T. D. : La différence ? C’est le coussin ! (rire). Ce n’est pas une plaisanterie. C’est le zafu, le coussin rond que l’on met sous ses fesses ! Ce simple coussin permet d’équilibrer complètement la posture, de l’ancrer dans le sol, les deux genoux touchent la terre, le coussin donne tout son sens à la beauté de l’assise. Essayez de croiser les jambes en lotus sans coussin et vous verrez la différence. Il y a toujours un genou qui se soulève, même légèrement, et toute la posture n’est pas aussi belle. Ni aussi efficace.
N. C. : Oui. Cette invention du coussin remonte d’ailleurs au Bouddha qui demanda un jour à un paysan qui fauchait son champ de lui couper de l’herbe sala, une herbe très souple, pour s’en confectionner un siège permettant d’équilibrer l’assise.
T. D. : Vrai. Vrai (True. True). Bouddha a trouvé la voie du milieu. Il avait vécu une vie de prince trop molle, puis une vie d’ascète trop exacerbée, il comprit que seul un juste équilibre permettait de trouver sa vérité propre. Ce n’était pas un hystérique comme beaucoup de spiritualistes !
N. C. : Un instrument de musique doit être justement accordé pour faire de la musique, l’histoire estfameuse…
T. D. : Oui. Et notre corps est comme un ins- trument de musique qu’il faut savoir accorder pour bien jouer la vie. Pour apprendre à « négocier la Voie », dit-on dans le zen.
N. C. : Quels sont les grands reproches que vous faites à nos contemporains ?
T. D. : D’être trop faibles (too weak).
La pos ture de méditation peut les rendre forts. C’est la civilisation qui les rend faibles, il y a trop de tout, trop à manger, trop de bruit, trop de publicité, trop d’images, trop de sexe ; trop, trop. Tout le monde est intoxiqué, hystérique, la voie naturelle est oubliée…
N. C. : Comment voyez-vous l’avenir ?
T. D. : Beaucoup de destructions, toujours davantage de pollutions. L’espèce humaine ne pourra se sauver que par la sagesse. La sagesse doit s’élever de l’humanité.
N. C. : Le simple fait de pratiquer zazen peut- if aider à réaliser cela ?
T. D. : Sur le plan personnel, certainement. Sur le plan collectif, le grain de sable de la sa- gesse peut enrayer la machine emballée. Peut- être… (Maybe…) Il faut le croire, fortement (strongly), il faut pratiquer, fortement. Une posture juste influence le monde entier… (silence) …comme un sourire influence tout le monde autour de vous. Il y a une grande différence entre les réactions suscitées par un sourire ou celles déclenchées par une insulte. Faire gassho (saluer les mains jointes) est mieux que dresser le poing ! Et une main ouverte saisit plus que qu’un poing fermé…
N. C. : Vous êtes donc confiant ?
T. D. : A la fin (at to the last) toutes les bulles d’air à la surface d’un cours d’eau font « plop » et reviennent se fondre à ce cours d’eau. Alors… ce n’est pas la peine de se poser trop de questions : comment va finir l’humanité, comment vais-je mourir, combien de temps mes enfants vont-ils vivre, comment vais-je survivre, quand est-ce que je vais rencontrer la femme de ma vie, quand est-ce qu’un homme va coucher avec moi… Quand, comment, pourquoi, on se torture sans cesse avec des questions inutiles. L’important est l’action : ici et maintenant, agir. La réponse aux questions vient toujours assez vite. La vie est comme une ligne faite de points. Chaque instant est un point. Plus chaque instant est vécu fort, plus les points, et donc la ligne, sont forts. Il faut tracer sa vie, fortement. La posture de médi- tation aide, c’est tout. Elle aide à guérir le corps et l’esprit.
N. C. : Vous dites aussi souvent que faire zazen, c’est entrer dans son cercueil. Qu’ est-ce que cela veut dire ?
T. D. : C’est votre koan ! (rire tonitruant).
N. C. : Je peux y répondre ?
T. D. : Certainement.
N. C. : Voilà. Dans la posture on retrouve un état qui existe avant notre naissance et après notre mort. On ressent un vide qui préexiste à notre existence. Si on devient vide (ku) on rejoint l’énergie primordiale (ki). C’est ça ?
T. D. : Comme vous voulez ! N’oubliez jamais cette phrase de l’Hannya Haramita Shingyo(le sutra de la Grande Sagesse que l’on chante souvent dans les dojos zen, à la fin des zazen du matin) :
Ku soku ze shiki
Shiki soku ze ku
Le vide crée le phénomène
Le phénomène créé le vide.
Il faut voir au-delà de la dualité. Au-delà du par-delà…
N. C. : Sensei, vous dites souvent que les gens sont trop égoïstes. Comment remédier à cela ?
T. D. : Par la pratique de la méditation, par le zazen, les bonnos (illusions, travers, défauts) décroissent naturellement, inconsciemment, automatiquement. Regardez-vous : avant, vous ne pensiez qu’à vous, maintenant vous faites des livres pour les autres (rires) ! Les Occidentaux ont cru jusqu’à maintenant que le zen est une philosophie intellectuelle. Or, au contraire, pratiquer le zen consiste à penser avec son corps, c’est unir le corps et l’esprit, c’est une sagesse du corps. Ch’an, zen, dhyana, zazen, tous ces mots définissent la méditation qui est pratique de tout le corps. Ainsi peut-on équilibrer les deux cerveaux. L’être moderne est gravement malade : la pratique de la méditation peut l’aider à devenir sain. Ce n’est pas la peine de s’enfuir dans une grotte dans la montagne pour cela. La posture elle-même est la grotte et la montagne. Où que vous soyez existe la vraie liberté, celle du poisson dans l’eau ou de l’oiseau dans le ciel. Mais on peut amener un cheval à la rivière, c’est à lui de boire… Transformer son karma reste l’affaire de chacun !
À lire :
Sur les pas du Bouddha, ouvrage qui retrace la vie, la philosophie du Bouddha et le voyage que Marc de Smedt fit sur leurs traces en Inde, éd. Albin Michel, coll. Espaces Libres Poche.
Zen et psychosomatique, par maître Deshimaru et le professeur Ikemi, éd. Albin Michel.
Les autres ouvrages majeurs de maître Deshimaru : La pratique du zen, Zen et Arts martiaux, Zen et vie quotidienne, L’anneau de la voie…, se trouvent en poche chez Albin Michel dans la collection Spiritualités Vivantes.
Guérir l’esprit
Source : Nouvelles clés.
Bonne lecture, bonne écoute: Claude Sarfati
Selon le zodiaque Chinois, 2021 sera l’année du Buffle de Métal.
La nouvelle année Chinoise débutera le 12 Février et elle prendra fin le 31 Janvier 2022.
Le Buffle est le deuxième signe des douze signes du Zodiaque Chinois: Rat, Buffle, Tigre, Lièvre, Dragon, Serpent, Cheval, Chèvre, Singe, Coq, Chien et Cochon.
L’année du Buffle de Métal succède à l’année du Rat de Métal (2020) et précède l’Année du Tigre d’Eau (2022)!
Les années suivantes sont celles qui sont associées au Buffle selon l’Horoscope Chinois: 1913, 1925, 1937, 1949, 1961, 1973, 1985, 1997, 2009, et 2021.
Cette année s’annonce favorable et elle constitue la période idéale pour se concentrer sur les relations, qu’elles soient amoureuses ou amicales.
Selon le Zodiaque Chinois, Le Buffle est très travailleur et méthodique. Au cours de l’année 2021, tout effort sera récompensé et les signes du zodiaque qui auront de la chance sur le plan financier seront ceux qui fourniront des efforts considérables.
L’énergie Yin, qui est associée au signe Chinois du Buffle, sera très intense. Cette année, nous prendrons pleinement conscience du poids de nos responsabilités.
Nous devrons redoubler d’efforts pour atteindre nos objectifs pendant cette période.
Etant donné qu’il s’agit d’une année associée au Métal, pour la deuxième fois consécutive, la couleur de l’année 2021 sera le blanc.
En plus du blanc, cette période sera également associée aux couleurs porte-bonheur du Buffle : jaune et vert.
Selon le Feng Shui, ces couleurs favorisent la prospérité et le succès. Pour attirer davantage la chance, vous pouvez porter des accessoires en métal
Selon l’horoscope Chinois 2021, aucune catastrophe ne se produira pendant cette année, cette période est donc propice à la reprise ou la consolidation de l’économie.
Cette année est idéale pour effectuer des investissements à long terme (notamment pour se préparer à affronter les années improductives à venir).
L’année du Buffle de Métal est également la période idéale pour mettre de l’ordre dans nos affaires familiales.
Après tout, nous pouvons résoudre nos problèmes plus facilement quand nous profitons d’une vie de famille paisible!
Par conséquent, nous pourrons résoudre tous nos problèmes ne faisant preuve de discipline pendant l’année 2021.
Nous devrons nous montrer très disciplinés ! Et nous devrons également prendre le temps d’organiser notre emploi du temps.
L’année 2021 sera-t-elle une période favorable pour vous? Votre signe du zodiaque figure peut-être dans la liste des signes qui seront favorisés par la chance pendant cette année spécifique.
Les idéaux et les relations personnelles des natifs du Rat s’avèreront très importants pendant cette année. L’année 2021 apportera une énergie particulière à ces natifs car leur optimisme sera à son apogée.
Pendant l’année 2021, les natifs du Serpent parviendront à trouver des réponses à leurs questions les plus profondes et les plus intimes.
Leurs souhaits se réaliseront au moment opportun, exactement au moment ou ils en auront besoin.
Les natifs du Serpent seront prêts à aider leurs amis et ils seront également une source d’inspiration pour leur entourage.
Les rêves, les aspirations et les relations personnelles seront essentielles pour les natifs du Cheval pendant l’année à venir.
L’année 2021 leur apportera une énergie particulière: ces natifs tenteront de réaliser leurs nombreux projets et leurs amis et leurs proches seront prêts à les aider dans toutes leurs entreprises.
Les natifs du Cheval se montreront très optimistes, ils seront aussi plus sûrs d’eux et ils feront davantage confiance aux autres, ce qui s’avèrera indispensable pour atteindre leurs objectifs.
Les natifs du Cheval peuvent s’attendre à une année favorable sur tous les plans, ils ne doivent donc pas hésiter à réaliser leurs rêves!
Cela peut paraître surprenant cependant l’année 2021 sera essentielle pour les natifs du Singe car cette période leur permettra de trouver des réponses à leurs questions les plus profondes et les plus intimes.
Ces natifs parviendront à trouver un équilibre et à choisir la voie la plus adaptée à leurs besoins.
Les souhaits de ces natifs se réaliseront au moment opportun, exactement quand ils en auront besoin.
Pendant l’année 2021, les natifs du Singe gagneront en assurance et ils parviendront à trouver des solutions efficaces pour résoudre leurs problèmes.
Ils bénéficieront également de l’aide de leurs amis, qui les encourageront en leur donnant des conseils utiles.
L’année 2021 sera propice sur le plan financier pour les natifs du Cochon. Nous conseillons donc à ces natifs d’investir dans de nouveaux projets sans hésiter.
Les natifs du Cochon sont de fins stratèges et ils réfléchissent parfois trop longtemps avant de prendre une décision cependant ils bénéficieront de l’énergie du signe Chinois du Buffle qui favorisera leur chance pendant l’année 2021 !
Chiffres porte-bonheur: 7, 9, 12, 21, 34, 42
Jours porte-bonheur: le 5ème, le 9ème, le 17ème, le 29ème jour de chaque mois du calendrier Chinois
Mois porte-bonheur: le 3émet, le 7émet et le 9émet mois lunaires Chinois
Couleurs porte-bonheur: Blanc, jaune et vert
Directions porte-bonheur: ouest, nord-ouest et sud-ouest
En 2021, le Tai Sui dominant est Yang Xin. Tai Sui se situe au Nord-est. Le signe de la Chèvre du zodiaque Chinois est en opposition avec Tai Sui et les signes en opposition indirecte sont le Buffle, le Dragon et le Chien.
L’année du Buffle de Métal sera propice aux évolutions professionnelles, aux succès commerciaux, à la prospérité et au bien-être de tous les signes du zodiaque.
L’année 2021 du Buffle sera sous l’influence de l’élément métal tout comme l’année 2020 du Rat.
Cette année annonce de nouvelles opportunités professionnelles, vous ne devez donc pas vous laisser submerger pas l’anxiété ou par les pensées négatives.
Les natifs du Buffle sont des personnes indépendantes et fortes qui sont également très obstinées.
Pendant cette année, quelques problèmes risquent d’affecter la plupart des signes du zodiaque Chinois cependant le succès et la chance accompagneront les natifs qui parviennent à s’adapter en toute circonstance.
Pendant l’année 2021, les natifs du Dragon pourront réaliser d’importants profits, tant qu’ils saisissent les opportunités qui s’offrent à eux.
Cependant, ces natifs devront faire preuve d’une grande prudence et garder la tête froide avant que la situation ne devienne incontrôlable
De nombreux natifs du Tigre et du Lièvre découvriront une nouvelle source de revenus qui leur permettra d’obtenir leur indépendance financière et d’autres natifs obtiendront de l’argent sans faire aucun effort.
Les natifs de la Chèvre auront de nombreuses idées qui les aideront à gagner rapidement de l’argent et à développer leur propre entreprise. Ces natifs atteindront leurs objectifs sans difficulté.
L’année 2021 s’annonce particulièrement favorable sur le plan des relations amoureuses ! Si vous envisagez de fonder une famille avec votre partenaire, cette période est idéale pour réaliser ce projet.
Toutes les unions qui seront officialisées pendant l’année du Buffle de Métal seront durables et heureuses. Si vous êtes encore célibataire, vous pouvez vous attendre à rencontrer l’âme sœur pendant cette année!
Emporté dans un tourbillon de passion et d’émotions, le Singe impulsif et malicieux aura probablement des difficultés à choisir le partenaire idéal pour débuter une relation durable.
Découvrez les conseils de notre astrologue : vous devez vous montrer plus romantique et vous impliquer davantage dans la relation que vous partagez avec votre partenaire.
Vous devez également accorder plus d’importance à ses besoins et vous montrer un peu plus tendre. Un simple geste ou quelques mots d’amour peuvent s’avérer très efficaces!
Les natifs de la Chèvre doivent éviter de dépenser beaucoup d’argent pour satisfaire leur partenaire et d’espérer que ces dépenses leur permettront de créer l’harmonie au sein de leur couple.
Ces natifs devront retenir une importante leçon en 2021 : le véritable amour n’a pas de prix.
Les natifs du Tigre et du Singe n’auront aucun problème de santé sérieux cette année.
Même s’ils souffrent d’affections sans gravités, ces problèmes seront rapidement résolus.
La santé de la plupart des natifs qui souffrent de maladies préexistantes s’améliorera également pendant cette période.
Les natifs du Dragon seront très agités, ils seront donc au bord de l’épuisement à plusieurs reprises pendant cette année.
Ces natifs devront faire preuve d’une grande prudence afin de préserver leur santé.
Les heures supplémentaires au travail et le manque de sommeil figurent parmi les causes principales qui peuvent affecter leur santé.
Napoléon (1769), Adolf Hitler (1889), Walt Disney (1901), Margaret Thatcher (1925), Barack Obama (1961), Saddam Hussein (1937), Gerald Ford (1913), Charlie Chaplin (1889), les acteurs George Clooney, Richard Gere et Dustin Hoffman, l’artiste Vincent Van Gogh; la Princesse Diana; l’ancien Président Richard Nixon.
Source: ZodiaqueChinois.com
Une très bonne année Chinoise du Buffle de Métal!
Amitiés
Claude Sarfati
Voici venu le moment de vous présenter mes meilleurs vœux pour la nouvelle année.
Merci à tous ceux qui me font confiance, m’aident, participent à mes projets.
A tous ceux qui me consultent infiniment merci.
Je vous embrasse à tous et à chacun de tout mon cœur.
Santé, Bonheur, Prospérité, épanouissement
Chaque année, j’ajoute une petite vidéo d’un chanteur qui a marqué plus particulièrement notre temps récent.
Cette année, sans aucun doute et à l’unanimité (des moi-même), c’est Benjamin Biolay
J’ai lâché le téléphone comme ça
En ce beau matin d’automne pas froid
Ça ressemblait à l’été sauf que tu n’y étais pas
Puis j’ai regardé le ciel d’en bas
Indécis, voulais-je y monter ou pas?
Mais savais que j’étais fait, que j’étais fait comme un rat
Comment est ta peine?
La mienne est comme ça
Faut pas qu’on s’entraîne
À toucher le bas
Il faudrait qu’on apprenne
À vivre avec ça
Comment est ta peine?
La mienne s’en vient, s’en va
S’en vient, s’en va J’ai posé le téléphone comme ça
J’peux jurer avoir entendu le glas
J’aurais dû te libérer avant que tu me libères, moi
J’ai fait le bilan carbone trois fois
Puis parlé de ta daronne sur un ton qu’tu n’aimerais pas
Tu ne le sauras jamais car tu ne m’écoutes pas
Comment est ta peine?
La mienne est comme ça
Faut pas qu’on s’entraîne
À toucher le bas
Il faudrait qu’on apprenne
À vivre avec ça
Comment est ta peine?
La mienne s’en vient, s’en va
La mienne s’en vient, s’en vaDis, comment sont tes nuits
Et combien as-tu gardé de nos amis?
Comment est ta peine?
Est-ce qu’elle te susurre de voler de nuit?
Comment va ta vie?
Comment va ta vie?Comment est ta peine?
La mienne est comme ça
Faut pas qu’on s’entraîne
À toucher le bas
Il faudrait qu’on apprenne
À vivre avec ça
Comment est ma peine?
La mienne s’en vient, s’en va
S’en vient, s’en va, s’en vient, s’en va
Paroles et musique: Benjamin Biolay
Album: Grand prix
Amitiés,
Claude Sarfati