Carlos Castaneda
Présentation de Carlos Castaneda et exploration de son oeuvre.
Découverte du Yi King
Dés le réveil, en allant chercher mon premier café, je croise l’énigmatique étranger appelé le monsieur par Graciela.
Il était assis sous le petit patio du ranch et buvait un café sur une table encombrée d’un gros livre, de papiers, de crayons, d’une jolie bourse en cuir.
-Salut, ça va ?
-Très bien me répondit-il, le café est bien chaud !!
Après avoir salué et bu mon premier café avec toute la maisonnée, je venais rejoindre le monsieur qui m’accueillait en souriant.
-ça y est, tu as donné du grain aux poules !
De quelles poules voulait-il parler, je ne m’occupais certes pas du poulailler du ranch.
-Tu trouves pas que la « Graciela » ressemble à une poule ?
C’est vrai que cette jeune fille, avait tendance à hocher de la tête en marchant. Je me suis mis à rire en lançant :
-Alors t’es Monsieur Qui ?
-Non pas Monsieur mais El Monsieur en prenant la voix rauque, profonde, de La Dona.
-Je m’appelle Pratos !
-Pratos ça n’existe pas !
-Ah si je te promet et je suis français comme toi, d’origine, mais c’est mieux de continuer à parler en mexicain.
Pratos venait régulièrement au Mexique depuis onze ans, il avait fait de longues études en France, Psychologie, Philosophie avant de tout quitter. Préférant faire des petits boulots et voyager pour vivre sa passion de l’anthropologie.
-Tu comprends à part Freud et Marx, on ne nous apprend rien.
– C’est quoi ce gros bouquin ?
-Le Yi King me répondit Pratos, c’est un Holy Book , c’est très vieux et on s’en sert comme d’une boussole, ça te dit si tu dois avancer, reculer et dans quelle direction et à quelle vitesse.
-Me voyant intéressé, il se mit à lire de longs passages du Livre des transformations.
Ainsi Pratos et moi devenions amis, il me recommanda d’être très prudent avec Maria, en me disant qu’il comprenait ma vision des choses mais que lui préférait ne pas faire plutôt que mal faire. Nous avons passés la journée à discuter en nous promenant l’après-midi et méditer ensemble sur la pyramide au coucher du soleil.
Le lendemain, je devais quitter l’endroit pour revenir à Puerto-Vallarta et m’occuper de mon école de français.
3 jours plus tôt, j’étais très satisfait de mon sort de professeur sous les tropiques, à présent, je savais que je ne pourrai plus y rester.
Nous nous reverrons me dit Pratos, étudies le Yi King, car la prochaine fois nous en aurons besoin et nous irons vers ces chemins que tu as vu lorsque nous avons médités ensemble.
Assis dans le bus de retour, je réfléchissais à ce nouvel avenir qui se profilait et me donnait une nouvelle force.
Je décidais de fermer l’école, de partir aux Etas-Unis gagner de vrai sous, puis revenir dans le Chiapas pour y vivre.
Je pensais qu’une bonne année s’écoulerait avant de pouvoir réaliser mon projet, mais en réalité il s’écoula plus deux ans avant de retrouver mon endroit ; j’avais eu le temps de bien avancer dans mon étude du Yi King.
Claude Sarfati (1982)
Où en serions-nous si tout avait pu être prouvé ?
Interview de Castaneda par Kala Ruiz
Le 26 janvier 97 l’inattendu arriva: Castaneda apparut devant des milliers de personnes réunies pour un séminaire, afin de confirmer que le chemin du guerrier existe, que c’est une expérience possible qui peut être pratiquée par n’importe qui, par le biais de la Tenségrité. Le pittoresque personnage était là, le sorcier nagual. Tout petit et mince, avec des yeux d’aigle, riant joyeusement, jouant à inventer des instants, rompant le formalisme par des blagues intelligentes.(…)
Comment définiriez-vous don Juan, votre maître et ami ?
C’était un chaman, bien que lui me disait toujours : « Je ne suis pas un chaman, connard, je suis un sorcier ! »- Il était grossier.
Qu’est-ce que la sorcellerie ?
C’est l’art d’interrompre le flux du système d’interprétation…c’est une autre manière d’interpréter. Dans l’ancien Mexique, il y avait un « genre » entier qui se vouait à élargir les limites de la perception. Des choses incroyables pour le mental normal pouvaient arriver alors. C’étaient des êtres rituels, capables de cacher des choses d’une valeur inestimable.
Comment se manifeste cette sorcellerie ou magie ?
Nous pouvons percevoir l’énergie telle qu’elle circule dans l’univers. Pouvoir voir l’énergie, ne serait-ce qu’un instant, donne de la réintègration, quelque chose d’inouï se regroupe, nous n’avons pas de pratique. Cela se regroupe dans une autre perception et nous sommes face à un autre univers. Il y a des sorciers capables de faire des choses inouïes. Mais nous restons toujours avec des idées qui ne nous permettent pas de développer le potentiel humain, comme la science. On m’a dit: « ça n’est pas scientifique, Carlos, c’est de la pure superstition ! » Mais où en serions-nous si tout avait pu être prouvé ?
Quels furent les facteurs, dans votre enfance, qui vous ont mené à être le personnage que vous êtes aujourd’hui ?
Quand je fus conçu, il n’y eut pas d’excitation sexuelle, c’est pourquoi je suis sorti biscornu. Don Juan me disait: « Je vois que ta mère n’a même pas su ce qui lui arrivait ; elle n’a rien senti. Ton père n’aimait pas l’acte sexuel et ils t’ont conçu derrière une porte, c’est pourquoi tu es sorti petit et nerveux. Regarde-toi : tu agis toujours comme si tu étais poursuivi. Tu es toujours à la recherche de quelque chose, et tu te déplaces partout avec cette anxiété, parce que ta conception a été super-civilisée; c’est ce qui arrive à presque tout le monde. C’est pour ça qu’il t’est difficile de sauter dans l’intention des sorciers. Si tu veux être l’égal des gens conçus avec passion et qui sont capables de tout, qui ont une énorme énergie qui ne peut pas se perdre, se dissiper…ça va être difficile, parce que tu es le produit d’une baise ennuyeuse. Tu vas devoir faire un énorme travail pour remettre à leur place tous tes morceaux énergétiques afin de pouvoir sauter dans d’autres dimensions.
Pourquoi les élèves de don Juan furent-ils si peu nombreux ?
Don Juan ne voulait pas d’élèves placés sous les projecteurs parce qu’ils se seraient épuisés trop vite. C’est pourquoi moi, les trois sorcières : Florinda, Taisha et Carol, et les Chacmools, sommes en train d’essayer d’enseigner et de transmettre tous ses enseignements.
Nous savons que Carol Tiggs a disparu pendant des années de cette réalité, pouvez-vous nous dire quelque chose à ce sujet ?
Carol Tiggs…un être assez extraordinaire. Elle est partie…elle a disparu en tant que personne du monde quotidien. Cela peut sembler stupide, mais si nous suivons le raisonnement de don Juan, c’est tout ce qu’il y a de plus naturel. La Mer de la Conscience est là pour les sorciers, et nous pouvons l’utiliser comme moyen de…des choses irrationnelles peuvent arrivées. Disparaître est naturel dans notre monde cognitif. Carol Tiggs a été absente pendant 10 ans. Mais un jour, j’étais dans une librairie, fouinant, quand soudain…je vois une grosse tâche ambrée, la couleur de la discipline du sorcier.
La couleur ambre n’est pas naturelle…je me suis approchée de la grosse tâche, et j’ai commencé à distinguer comme un tunnel depuis lequel une silhouette avançait vers où j’étais…c’était Carol Tiggs ! Je ne savais pas où elle avait été pendant 10 ans. Notre nostalgie pour elle était telle, pour les trois qui étaient restés, que nous ne pouvions pas parler d’elle, ni penser à elle; c’était très dangereux. Mais maintenant elle est là et elle paraît avoir 25 ans. Elle a navigué dans une autre réalité.
Sommes-nous les héritiers de la connaissance de l’ancien Mexique ?
En vérité non, ça ne nous intéresse pas, nous avons d’autres priorités. Non, ce n’est pas son Mexique ni le mien, mais oui nous pouvons y avoir accès.
Quelle est la barrière, qu’est-ce qui nous retient ? Beaucoup de choses. Mais nous sommes les possesseurs d’un système extraordinaire. Mais que faisons-nous ? Nous nous saoulons, nous engloutissons n’importe quoi : de la nourriture, des pastilles…C’est ça l’amour personnel ? Nous sommes les plus égomaniaques, nous sommes régis par des idéaux qui n’ont pas de sens. Comment contribuons-nous à la connaissance, que voulons-nous de la vie ? Punaise! Quelle stupidité ! Je suis « old age » disait don Juan.
Que désireriez-vous faire de plus dans cette vie ?
Je dois découvrir tout ce que je peux pendant que j’ai cette conscience. Don Juan disait : « Je ne suis pas d’accord avec les accords auxquels je n’ai pas participé. Par exemple, la vieillesse, je n’ai pas accepté d’être vieux. C’est pourquoi je suis jeune, il est de mon devoir de le refuser. »
Que pensez-vous de l’égo, du moi ?
Don Juan disait qu’il n’y a pas à faire étalage de l’égomanie, du moi, moi, moi. On ne peut pas être sous les feux de la rampe tout le temps. Il me disait que j’étais un égomaniaque: « Plus on est petit, plus on est egomaniaque ». Pour lui, j’étais « Monsieur Cauchemar ».
‘Mais qu’est-ce que cela vous apporte don Juan, votre relation avec moi », je lui demandais. Il disait : « Beaucoup, chaque fois que je te vois j’ai la nausée; j’ai envie de vomir ; et tu as remarqué ? Tu vois ?…Tu me renouvelles. »
Je lui ai donné des années de bonheur, parce qu’il était plié de rire avec moi. Il ne laissait passer aucune opportunité pour m’enseigner quelque chose ; en plus, il se voyait toujours si jeune et moi si vieux, car je m’adonnais au vin et à la cigarette, j’allais chez lui à moitié assommé pour me donner du courage.
Un jour, don Juan m’a dit: « Nous allons partir dans la montagne 10 jours. De combien de paquets de cigarettes as-tu besoin? » – « Environ 10 », répondis-je.
« Très bien, dit-il, alors empaquettes-les soigneusement avec du ruban adhésif et compacte-les parfaitement pour que les coyotes ne les trouvent pas. »
Immédiatement après je me mis à préparer les paquets, en faisant plusieurs tours avec du ruban adhésif; j’inventai même un mécanisme où je laissai un trou pour y passer ma main, afin de pouvoir sortir un paquet, et une fois le paquet sorti, le tout pouvait rester à nouveau scellé, une merveilleuse invention ! Nous partîmes dans la montagne. Le deuxième jour au matin, mes paquets de cigarettes avaient disparu ; on voyait seulement les empreintes des coyotes et des paquets arrachés.
« Ah! Ne t’en fais pas, dit don Juan, je ne crois pas qu’ils l’aient emporté bien loin. Nous allons chercher ton paquet de cigarettes. »
Pendant huit jours nous avons cherché le paquet de cigarettes, en haut de la colline, en bas de la colline, en haut de la côte, en bas de la côte. Ma condition physique précaire était en train de me tuer, je marchais avec la langue pendante, jusqu’à ce que je m’allonge sur le sol en disant:
» Je me rends, je n’en peux plus. »
« Tu ne veux plus chercher tes cigarettes ? », me demanda-t-il.
« Non, répondis-je, tout ce que je veux c’est survivre »(avec la gorge sèche, crachant du goudron).
« Très bien, dit-il, alors le voyage se termine ici ». Il entrouvrit quelques buissons et là, juste devant mon nez, apparut sa maison. C’était sa manière de transmettre ce qu’on ne peut interpréter. Là s’arrêta pour moi le vice de la cigarette et du vin, pour toujours. Il faisait ces choses…comme effiler mes pulls de Dinamarca et me remettre la pelote de fil. Pourquoi ? Pour que j’interrompe mon système interprétatif, pour me laisser libre, sans information et sans syntaxe.
Comment est la vie d’un sorcier ?
Si ce que vous faites n’a pas d’influence sur votre vie, ça ne sert à rien. Pour un sorcier c’est une aberration. Vous ne pouvez pas être érudit de 9h à 15h et être un pou le reste du temps. Vous devez être un guerrier impeccable à temps complet. Après avoir eu connaissance de ça, on doit se comporter avec impeccabilité. Don Juan disait qu’on ne peut pas insister sur les choses, elles arrivent d’une manière naturelle, si vous insistez, zou !, la magie s’arrête.
Que pensez-vous de cette vague de mécontentement envers le New Age ?
De quoi pourrais-je me préoccuper si à mon âge je suis old age ? La sorcellerie c’est être vieux et jeune en même temps. Le New Age, c’est de la connerie. Je ne peux pas me permettre le luxe d’être égomaniaque. Don Juan me l’a enlevé. Il me disait: « Ton égo est comme un clou, ça va te faire un peu mal, mais je vais te l’enlever. » Et…poum !, il me l’enlevait. Je lui disais : « Merci, je me sens bien. » – « Ne t’emballe pas…tu as 13 clous. » Parfois je lui disais : »Enlevez-moi un autre clou », et il me répondait : « Non, pas aujourd’hui. »
Vous avez laissé tomber l’anthropologie pour le chemin du nagual ?
J’ai laissé tombé l’anthropologie et tout ce qui incombe au monde quotidien, mais ça m’a donné quelque chose d’inouï : la lutte, le combat… l’objectif est à l’horizon, pas ici. Cessez d’être des hommes, des machos latins, lâchez les rennes. Votre mère vous a fait croire que vous étiez extraordinaire, parce que vous étiez un homme « pimenté ».
On vous a appris que les femmes étaient à votre service ; comme disait Aristote : « Les femmes sont des hommes impotents. » Le fait que beaucoup de femmes et Carol Tiggs soient meilleures que moi, ça c’est une révolution.
Quel était le but de don Juan en transmettant ses connaissances ?
Don Juan n’était ni un maître ni un gourou, il voulait perpétuer sa lignée. Et cette énorme responsabilité retomba sur moi. Mais je ne suis pas comme lui, je ne peux pas la perpétuer. Je suis même plutôt là pour fermer le cercle de la lignée…mais avec extrêmement d’élégance. Et avec les passes magiques de la Tenségrité qui sont une force agglutinante. On nous a enseigné 41 lignes entières de passes magiques. Je n’ai pas de secrets, je veux créer une « commotion cérébrale » pour que nous parvenions à une révolution énergétique.
Rien de old ou new age, pas de religion, rien…mais nous sommes intéressés à utiliser ces passes magiques vieilles de plusieurs milliers d’années ; elles ne peuvent plus rester avec nous. Nous les avons amalgamées ; cela fait 15 ans que nous pratiquons afin de voir si on peut créer un agglomérat de champs énergétiques. Je veux fermer la lignée avec une grande explosion, laissez-moi vous toucher, révéler, transmettre les connaissances.
En 1973, don Juan s’est transformé en lumière, en serpent à plumes. Lui et ses associés ont fait un tour final. Il arrive un moment où la Terre vous dit : « Tu es libre…va t’en ! » Une existence si énorme qui est consciente d’un microbe comme moi ! (presque en pleurant) Elle me transporte !…comme une mère pleine d’amour.
Comment traiter avec un égomaniaque ?
Don Juan disait : « Tu peux dire la pire des insultes aux gens, mais si tu le dis sur un ton d’adulation…ils restent enchantés. » Pour pouvoir être un guerrier, la première chose est de se détacher du moi personnel. A quoi bon se mettre en colère ? La bataille n’est pas ici, elle est à l’horizon.
Peut-on voler son énergie à quelqu’un ?
Personne ne vole notre énergie, nous la dispersons.
Dans quelles parties du corps s’emmagasine l’énergie ?
Dans la vésicule, la rate, le pancréas, le foie et les glandes surrénales. L’oeuf lumineux qui est autour de tout le corps capte l’énergie et la charge dans ces organes. Les femmes ont un autre centre énergétique : l’utérus.
Qu’en est-il de la génétique ?
La commande génétique ne peut plus être la reproduction; la commande génétique aujourd’hui doit être l’évolution. La semence masculine est à un niveau très bas ; nous sommes sur le point de nous éteindre et nous restons pris dans des imbécillités.
Le dialogue intérieur est-il bien ou mal pour un guerrier ?
Il est toujours en faveur du moi. Il faut arrêter le dialogue à coups de pied, perdre l’importance personnelle. Comment ? Comme on peut.
Pourquoi les exercices de Tenségrité que vous allez enseigner à ce séminaire est-elle si importante ?
Parce qu’ils sont conçus spécialement pour la vallée de Mexico.
La Jornada – janvier 97
Amitiés
Claude Sarfati
Vacances de Noël 2021
Je serais absent du Vendredi 17 décembre 2018 au Lundi 27 décembre 2021 inclus.
Je vous souhaite d’excellentes fêtes de noël.
Vous pouvez réserver votre consultation sur le site, je vous contacterai des mon retour…
Amitiés
Claude Sarfati
Les enseignements du Nagual (l’impeccabilité)
… Afin de résumer ce qui a été dit précédemment, considérons les principes de base de ces Enseignements, qui sont exceptionnellement riches d’éléments théoriques et pratiques des plus valables.
Don Juan a précisé trois directions dans les Enseignements:
– l’art de traquer
– l’art de l’intention
– l’art de la conscience
Dans l’histoire de cette tradition spirituelle amérindienne, l’art de la traque consistait au commencement, en la capacité d’être furtif, afin de passer inaperçu parmi les personnes qui ne vous comprennent pas (c’est-à-dire, les gens de stades inférieurs dans la psychogenèse) — et de réaliser votre But.
Mais plus tard, particulièrement, en raison de la contribution personnelle de don Juan, cette tendance a été significativement augmentée et a inclus également le traçage de ses propres vices. Nous avons déjà discuté de cela. Laissez-moi dire seulement une brillante citation, donnée par don Juan: Dieu (dans ses termes, la Puissance) donne selon notre impeccabilité. C’est-à-dire, Dieu nous donne une occasion de l’approcher, de nous immerger dans le bonheur croissant de la Fusion avec Lui — à mesure que nous nous perfectionnons éthiquement.
La seconde section — l’art de l’intention. L’intention, dans ce contexte, est identique à l’aspiration au But Suprême. Un vrai guerrier dans la signification dont don Juan a de ce mot est une personne avec l’intention correctement développée.
Le style de vie des guerriers les apportait à la totalité de lui-même/elle-même, c’est-à-dire à l’état d’être non séparé concernant les choses majeures et mineures, l’intégrité, de se consacrer seulement au But Suprême.
Le troisième aspect est l’art de la conscience — ce qu’est le bouddhi yoga.
Ainsi, nous pourrions voir de nouveau, que Dieu mène toutes les personnes qui ont atteint un certain niveau de maturité dans leur psychogenèse, indépendamment des pays ou des cultures religieuses dans lesquels ils vivent, en utilisant un modèle méthodologique commun. Nous devrions étudier ces principes et tendances et les appliquer à nous-mêmes ainsi qu’à ceux qui nous suivent.
Bonne lecture: Claude Sarfati