À propos d’Amma – Mata Amritanandamayi

Sri Mata Amritanandamayi Devi est vénéré par les gens de toutes les religions, de toutes les cultures et de tous les horizons. Connu affectueusement comme « Amma » (signifiant « Mère »), la vie entière de Mata Amritanandamayi a été consacrée au service des autres.

« L’amour est notre véritable essence. L’amour n’a aucune limite de caste, de religion, de race ou de nationalité. Nous sommes toutes des perles attachées ensemble sur le même fil de l’amour. «  -Amma

Des dizaines de milliers de personnes attendent patiemment dans la file, souvent la nuit et jusqu’au petit matin, pour recevoir une bénédiction, un câlin maternel et quelques mots apaisants de cette femme souriante dans un simple sari blanc. Ils savent que leur tour viendra; elle ne détourne personne, même si cela signifie embrasser les gens pendant toute une journée et toute la nuit, et qu’elle ne facture aucun argent. Régulièrement, Amma donne du darshan pendant des heures, sans se reposer un seul instant. Dans certains endroits, elle a accueilli de 40 à 50 000 personnes dans un même programme, assise presque 24 heures pour le faire.

Quand la BBC lui a demandé: «Pourquoi étreignez-vous des gens?» Elle a répondu: «C’est comme demander à une rivière:« Pourquoi coules-tu? Il coule simplement parce que c’est sa nature. De la même manière, c’est la nature d’Amma – une mère qui exprime son amour à ses enfants. »Cette expression unique et extraordinaire de l’amour universel est connue sous le nom de darshan d’Amma.

Un vaste réseau d’activités caritatives inspirées par Son infatigable esprit de dévouement à l’élévation des autres a conduit beaucoup de gens à découvrir la beauté et le sens de la paix qui viennent de servir de façon désintéressée.

La vision d’Amma est celle dans laquelle le Divin réside dans tout, partout, qu’il soit sensible ou inerte. Dans ses propres mots: «Puisque tout est imprégné de Dieu, qu’est-ce qui ne doit pas être adoré?» Amma enseigne que comprendre et rester conscient de cette vérité – que tout, partout, intérieur et extérieur, est Divin – est le remède ultime pour l’homme. la souffrance: la clé pour transformer nos vies et la société dans son ensemble.

Source: Amma Europe

 

Amma sera présente à Chalons en Champagne du 24 au 26 novembre 2017, pour plus d’informations, cliquez ICI

 

 

Amitiés,

 

Claude Sarfati

Journée de la voyance à la foire de Chalons en champagne (Lundi 11/09/2017)

 

Comme chaque année,

 

je vous donne rendez-vous à la foire de Chalons en Champagne.

 

La journée de la voyance est organisée le lundi 11 septembre à partir de 10h dans l’espace muselet (dans les bâtiments près du Capitole).

 

En espérant vous y rencontrer,

 

vous pouvez me joindre au: 06.59.45.03.09

 

 

Lien du site officiel de La foire de Chalons en Champagne.

 

Manu Chao qui était à la foire en 2016…

 

Amitiés,

 

Claude Sarfati

L’amour pourrait changer le monde (Nicolas Peyrac)

Quand vous dansiez en ce temps-là,
Pas besoin de pédale wahwah.
C’était pas la bossa nova
Mais ça remuait bien déjà.
Les caves étaient profondes
Et la ronde
Ne s’arrêtait pas.
Un vieux piano bastringue
Et les dingues
Tournoyaient déjà.

Et Juliette avait encore son nez.
Aragon n’était pas un minet.
Sartre était déjà bien engagé.
Au Café de Flore, y avait déjà des folles
Et mon père venait de débarquer.
Il hantait déjà les boutiquiers.
Dans sa chambre, on troquait du café.
Il ignorait qu’un jour, j’en parlerais.
Quand vous flirtiez en ce temps-là,
Vous vous touchiez du bout des doigts.
La pilule n’existait pas.
Fallait pas jouer à ces jeux-là.
Vous vous disiez « je t’aime »,
Parfois même
Vous faisiez l’amour.
Aujourd’hui, deux salades,
Trois tirades
Et c’est l’affaire qui court.

L’oncle Adolf s’était déjà flingué.
Son Eva l’avait accompagné,
Des fois qu’il aurait voulu draguer:
Qui sait si, là-haut, il n’y a pas des folles


Et mon père allait bientôt planter
Cette graine qui allait lui donner
Ce débile qui essaie de chanter.
Il ignorait que viendraient mes cadets.

Quand vous chantiez en ce temps-là,
L’argent ne faisait pas la loi.
Les hit-parades n’existaient pas,
Du moins, ils n’étaient pas de poids.
Tu mettais des semaines
Et des semaines,
Parfois des années.
Si t’avais pas de tripes,
Ta boutique, tu pouvais la fermer

Et Trenet avait mis des années,
Brassens commençait à emballer
Et Bécaud astiquait son clavier.
Monsieur Brel ne parlait pas encore des folles
Et mon père venait de débarquer
Là ou restait quelque humanité,
Là où les gens savaient encore parler
De l’avenir… même s’ils sont fatigués.

Et Juliette avait encore son nez.
Aragon n’était pas un minet.
Sartre était déjà bien engagé.
Au Café de Flore, y avait déjà des folles
Et mon père venait de débarquer
Là ou restait quelque humanité,
Là où les gens savaient encore parler
De l’avenir… même s’ils sont fatigués.

Chanson: Et mon père (Paroles et musique) extraite de l’album: Quand pleure la petite fille par Nicolas peyrac

 

Quand l’album de Nicolas Peyrac est sorti en 1976, je rentrais dans mes quinze ans. J’ai écouté ce disque en boucle des milliers de fois et je rêvais de partir, de quitter mon confort familial…

Depuis, je suis parti, longtemps puis revenu puis reparti encore…

Jusqu’à comprendre que le vrai voyage était intérieur.

Depuis quelques temps, avec Nicolas Peyrac, nous discutons de temps en temps, c’est un artiste proche des gens…

Il sort d’ailleurs un album que je vous conseille chaudement : Suffit que tu oses. (En précommande à la FNAC)

Voici le lien de son site : Nicolas Peyrac

 

 

Amitiès,

Claude Sarfati

 

 

Reprise des consultations par téléphone et au cabinet

 

Après quelques jours de repos et de ressourcement nécessaires,

 

je reprends les consultations à partir du lundi 21 août 2017.

 

Je m’excuse auprès des personnes qui ont essayé de me joindre par téléphone, email, etc.

 

Je ne pouvais vraiment pas leur répondre…

 

Je répondrais progressivement à chacun, mais n’hésitez pas à me rappeler! (06.59.45.03.09)

 

Je vous remercie de votre compréhension et de votre confiance:-)

 

 

Un hommage à Jerry Lewis qui va rire aux étoiles!

 

 

Amitiés

 

Claude Sarfati

La haine ne nourrit pas la vie (Hommage à Simone Veil)

Simone Veil est partie le 30 juin 2017  à 89 ans.

Femme politique française de premier plan, première présidente du Parlement européen.

Alors ministre de la santé, elle avait combattu dans l’hémicycle en 1974 pour sa loi dite  » Veil » sur l’IVG, loi adoptée en 1975.

Née Jacob d’une famille issue d’un petit village lorrain, Bioville -sur-Neid, elle sera prise dans les tourments de la seconde guerre mondiale et de la Shoah, raflée à Nice l’année de son bac. Déportée à 16 ans

Elle en a tiré une immense force de vie.

Mais aucune croyance « après ce que j’ai vécu, je ne peux croire en Dieu » affirmait-elle.

En 1945, de  retour du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau puis de Bergen-Belsen -avec son matricule tatoué 78651 sur l’avant-bras – un retour sans ses parents ni son frère exterminés, elle soutient avec force dès cette année-là  devant ses proches qu’il faut faire la paix avec les allemands.

Unique voie selon elle que cette réconciliation.

Cela passera par l’Europe. Simone Veil s’engagera en politique.

Elle sera proche de Jacques Chirac et d’une droite humaniste.

Immortelle, elle siégeait à l’Académie Française en la place de Racine, au 13ème fauteuil.

Nombreux sont ceux qui souhaitent qu’elle soit inhumée au Panthéon.

Voici l’hommage écrit de Robert Badinter 

« La haine ne nourrit pas la vie »

L’ancien garde des Sceaux se souvient d’une femme, survivante des camps d’extermination d’Auschwitz, « qui a réussi, par une maîtrise profonde d’elle-même, à dominer la haine ». « Simone Veil a été (…) un des artisans les plus passionnés de la réconciliation franco-allemande », explique Robert Badinter.

Pour l’ancien président du Conseil constitutionnel, la jeune génération devrait s’inspirer du credo de Simone Veil : « La haine ne nourrit pas la vie ». Au contraire, « la vie est une sorte de joie permanente dans laquelle il faut surmonter les angoisses du passé et les souffrances du passé ».

 

 

Musique: Nuit et brouillard, paroles et musique de Jean Ferrat

Amitiés

Claude Sarfati