Mouvement de la retraite

A partir du 01 Avril 2024, je serais officiellement à la retraite. Cependant, je vais continuer mon activité « En activité complémentaire » dés que possible. Administrativement, je dois cesser officiellement mon activité le 31 mars 2024, ensuite il me faudra attendre quelques jours pour me réinscrire avec un statut différent. Je ne sais pas combien va durer cet arrêt mais ce ne sera pas très long. Durant cet intermède, je ne pourrais faire aucune consultation… Ne faites surtout pas de réservation ou de paiement en ligne… La réouverture sera annoncée sur mon site.

En vous souhaitant le meilleur, en vous remerciant pour ces nombreuses années de fidélité mais en préparant déjà les nombreuses à venir, je vous remercie de votre patience.

Je vous propose d’écouter un homme qui voit notre temps avec son coeur...

EN VO…

Don Miguel Ruiz

Voici le lien de son site: Don Miguel Ruiz

A bientôt

Claude Sarfati

Ecoute les étoiles

Je vous souhaite un  joyeux noël au cœur de votre famille ou de votre clan (hexagramme 37).

Passez de merveilleux moments de partage, de chaleur humaine.

Je suis absent jusqu’au 01 Janvier 2012 Inclus, vous pouvez toutefois me laisser vos messages par email ou sur mon portable: 06.59.45.03.09.

……………………………………………………………………………..

Dans son manteau rouge et blanc
Sur un traîneau porté par le vent
Il descendra par la cheminée
Petit garçon, il est l’heure d’aller se coucher

Tes yeux se voilent
Ecoute les étoiles
Tout est calme, reposé
Entends-tu les clochettes tintinnabuler ?

Et demain matin petit garçon
Tu trouveras dans tes chaussons
Tous les jouets dont tu as rêvé
Petit garçon il est l’heure d’aller se coucher

Tes yeux se voilent
Ecoute les étoiles
Tout est calme, reposé
Entends-tu les clochettes tintinnabuler ?

Et demain matin petit garçon
Tu trouveras dans tes chaussons
Tous les jouets dont tu as rêvé
Petit garçon il est l’heure d’aller se coucher… ….

graeme allwright

Petit garçon

Paroles : Henri DES.

Adaptation Graeme Allright

Musique : Roger Miller

……………………                              ………………………..

Fraternellement: Claude Sarfati

C’est le monde, Ailleurs comme ici

revolution arabe

Départ vers le sud pour quelques jours…

Du dimanche 6 mars au dimanche 13 mars inclus.

Les consultations reprendront le lundi 14 mars.

Vous pouvez me laisser un message : 06.59.45.03.09

Une pensée pour nos frères arabes…

………………………………………………………………………………

 

A chaque heure, A chaque seconde
Tout le monde, Ailleurs comme ici
N’a qu’une seule chose au monde
C’est le monde, Ailleurs comme ici
Pourtant qui se moque du monde
Notre monde, enfin celui-ci
J’entends les murs qui me répondent
Tout le monde, tout le monde

Qui ne sait pas qu’on se ressemble
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Qui ne sait plus rien faire ensemble
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Y a des moments parfois j’en tremble
Tout le monde, et c’est ainsi
Ne voit que ce que bon lui semble
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Ailleurs comme ici 

 

La nuit j’en perdrai le sommeil
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Refait ce qu’il a fait la veille
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Hier déjà c’était pareil
Tout le monde, Même avec des « Si »
Veut garder sa place au soleil
Tout le monde, Ailleurs comme ici

Moi je crois que le monde est tout
Tout le monde, malgré tout
Pourtant tout le monde l’oublie
Tout le monde, jour et nuit
Moi je crois que le monde attend
Tout le monde, tout le temps
Que le monde soit vraiment lui
Tout le monde, et lui aussi

Je le dis face à l’inconnu
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Devrait mettre son cœur à nu
Tout le monde, Ailleurs comme ici
Il faudrait retrouver la vue
Dans ce monde, encore en sursis
Ce qui est perdu est perdu
Pour tout le monde, Ailleurs comme ici…

Hélène Segara

Ailleurs comme ici (2005)

………………………            …………………………

Bon dimanche,

Claude Sarfati

Mélancolie

melancolie

Il y a des jours où, quand le jour se lève,
On voudrait rentrer tout au fond d’un rêve
Et puis, soudain, lorsque le clocher sonne,
Il y a des jours où l’on n’est plus personne.

Alors, on ferme les yeux un instant.
Quand on les rouvre, tout est comme avant.
Les gens vous voient et leur regard s’étonne.
Il y a des jours où l’on n’est plus personne.

Comme au milieu d’un cinéma désert,
On rembobine et tout passe à l’envers
Et quand on pense aux gens qu’on abandonne,
Il y a des jours où l’on n’est plus personne.

La la la la la la
La la la
La la la…

Ouvrir son cœur à tous les vents qui passent,
Et, qu’un matin, tous les chagrins s’effacent
Pour oublier, dans le bonheur qu’on donne,
Qu’il y a des jours où l’on n’est plus personne,

Qu’il y a des jours où, quand le jour se lève,
Ou voudrait rentrer tout au fond des rêves
Et s’endormir lorsque le clocher sonne.
Il y a des jours où l’on n’est plus personne.

 

Yves Duteil, J’ai la guitare qui me démange (1999)

à bientôt: Claude Sarfati.