La nourriture équitable selon le Mahatma Gandhi

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Selon Gandhi, le sucre de fleur de coco serait une façon de résoudre la pauvreté dans le monde et un contrepoison à la misère.

“Le jus de noix de coco peut être transformé en sucre, aussi doux que du miel… La nature a créé ce produit de façon à ce qu’il ne puisse être retraité dans les usines. On ne peut produire du sucre de palme que là où il y a des palmiers. La population locale peut aisément transformer ce nectar en sucre de fleur de coco. C’est une façon de résoudre la pauvreté sur terre. C’est aussi un contrepoison à la misère.” Gandhi 3.5.1939

Mahatma Gandhi s’est beaucoup intéressé à l’alimentation et aux aliments. Il était végétarien et son régime se composait généralement d’un litre de lait de chèvre, de 150 g de froment et de riz, de 225 g de légumes, 75 de légumes verts et 25 g de salade, de 40 g de thé et entre 40 et 50 g de sucre de fleur de coco.

À Kulon Progo, les cocotiers représentent le revenu d’appoint de 2000 familles. Sucre de fleur de coco (sucre de coco bio).

Pour son sucre de fleur de coco, Amanprana collabore avec Lestari Mandiri, Fairworld et Hivos. Lestari est une association qui défend les intérêts des petits paysans et de leurs familles, au centre de l’île de Java. Hivos est une organisation humanitaire qui oeuvre pour un monde plus juste, plus libre et plus propre ainsi que pour des chances égales. Dans la province de Kulon Progo, au centre de l’île de Java, où est active l’une des associations paysannes de Lestari, nous travaillons également avec Fairworld, qui veille à ce que la récolte et la production de notre sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) respectent les principes de l’agriculture biologique et du commerce équitable. Tous deux sont membres d’Organic Alliance, un organisme qui s’efforce d’introduire le principe bio en Indonésie. Ensemble, nous essayons de donner un revenu d’appoint à 2000 familles de Kulon Progo et à protéger leur éco habitat. Les cocotiers leur garantissent une récolte.

En travaillant directement avec ces producteurs de sucre, nous leur assurons un revenu équitable et certifions la qualité de notre sucre. Ces exploitants ont équipé leurs chaumières d’une petite cuisine afin de perpétuer la tradition de la production à échelle réduite de sucre de fleur de coco (sucre de coco bio). Grâce au soutien de Hivos et de Lestari, nous garantissons une production propre, de qualité et sans éléments contaminants. Les revenus de la culture et de la récolte de la production restent ainsi dans la communauté locale. Les ONG Lestari et Hivos se portent garantes de la transparence des processus, de la qualité et de l’engagement social. Notre action permet de doubler pratiquement le revenu de ces petits exploitants. Dans cette région du globe, le sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) est la méthode la plus adaptée de favoriser la vie de la population locale et de protéger son habitat. Un ménage moyen compte entre 10 et 30 cocotiers, ce qui représente une production annuelle moyenne de 18 à 54 tonnes de jus ou 2,5 à 7,5 tonnes de sucre de fleur de coco (si la culture se fait toute l’année). Mais en général, elle se limite à un semestre.

Un ménage moyen compte entre 10 et 30 cocotiers, ce qui représente une production annuelle moyenne de 18 à 54 tonnes de jus ou 2,5 à 7,5 tonnes de sucre de fleur de coco (si la culture se fait toute l’année). Mais en général, elle se limite à un semestre.

Selon la FAO (Food & Agriculture Organization), le sucre de fleur de coco est le sucre le plus durable (Le sucre de fleur de coco est une sorte de sucre de palme)

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) de la Banque Mondiale considère que le sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) est le plus durable de tous. Son rendement est bien supérieur au sucre de canne et il consomme 20 % de ressources en moins. En outre, le cocotier, ou cocos nucifera, a besoin de peu d’eau.

Le sucre de fleur de coco d’amanprana est produit par de petits exploitants à des prix équitables. Grâce à l’association paysanne Lestari Mandiri et à Amanprana, ils ont accès au commerce mondial, à des formations et un appui social.

Gula java d’Amanprana est un sucre de palme sain qui profite à la fois aux consommateurs et aux petits paysans, leurs familles et l’écosystème local. Le sucre de fleur de coco est en d’autres termes un élément de premier ordre pour la santé et le développement du commerce équitable en Indonésie.

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Le cocotier Cocos nucifera, « arbre de vie », apporte bien-être et prospérité aux communautés traditionnelles 12 mois par an

Dans de nombreux endroits du monde, le cocotier est appelé « arbre de vie ». Les communautés traditionnelles l’exploitent pour en faire des centaines de produits dérivés. Amanprana commercialise le sucre de fleur de coco (sucre de coco bio) pour rapprocher le consommateur de la sagesse et de la tradition des cultures ancestrales. Jamais le commerce du sucre de palme n’a été entaché d’esclavage ni de conflits, comme cela fut le cas pour le sucre de canne ou de betteraves sucrières. Autrement dit, c’est probablement l’un des sucres les plus « pacifiques » au monde.

Le cocotier peut apporter un revenu à une famille pendant toute l’année, chaque arbre donnant de 8 à 15 floraisons par an. Les noix apportent de l’eau, de l’huile, du lait, du féculent et de la chair de coco. La fleur de coco est utilisée pour produire du jus, qui une fois épaissi, se transforme en sucre, ou après fermentation, en vin, vinaigre ou alcool. En outre, le cocos nucifera est une source précieuse de matériaux pour la construction de maisons, par exemple les feuilles pour les toitures et le bois pour le mobilier, les couverts etc. Même les fibres sont récupérées pour le tissage,les tapis et le tourbe. Bref, rien ne se perd.

Le cocos nucifera produit des fleurs pour la première fois après 15 ans, puis pendant 70 années consécutives. À chaque floraison, le producteur peut extraire du jus pendant deux à trois mois, à raison de 5 kg de jus par jour ayant une teneur en sucre de 13,5 %. Certains arbres, les plus productifs, donnent jusque 25 kilos de jus par jour. La teneur en glucose varie de 2 à 18 %, de 2 à 25 % pour le fructose. La matière sèche du jus peut contenir de 66 à 94 % de saccharose.

Tout cela dépend bien entendu des saisons, de la localisation géographique et des talents du cultivateur. L’arbre croît le mieux dans les zones sablonneuses ayant une valeur pH de 5,5. Globalement, on estime qu’un hectare de cocotier peut produire 160 000 tonnes de jus de coco ou 21 600 tonnes de sucre de fleur de coco. Le cocos nucifera permet aussi l’oxydation de l’azote dans le sol pour empêcher l’érosion. Les racines du cocotier s’enfoncent jusqu’à 15 m.

Source: noble house

Bonne lecture, bon dimanche: Claude Sarfati.

Le livre des transformations

                                                   

L’idée fondamentale du Yi-King est la transformation, le regard ne se focalise plus sur les situations particulières qui commencent et se terminent, mais sur le principe unique, la loi éternelle qui est à l’œuvre dans la transformation de chaque situation.

Cette loi du TAO, le flux éternel, englobe et pénètre tout, et ses manifestations dans le monde de la forme sont le jeu des deux forces Yin et Yang.

Il devient clair alors que toutes les situations qui surviennent dans le monde visible sont l’effet d’une image ou d’une idée venant du monde invisible. Le livre des transformations nous entraîne au-delà de toute théologie comme de tout système philosophique et sa fréquentation est un moyen de choix pour apprendre à lire l’ordre de l’Univers et pour établir l’harmonie en nous-mêmes.

En prenant connaissance des lois qui régissent l’ordre de l’univers rien ne peut plus nous surprendre ni nous affecter, car nous prenons conscience qu’il n’y a pas d’acquisition définitive, tout commence et se termine, l’apogée contient les germes du déclin, la défaite prépare la victoire future.

Il faut donc nous garder de nous identifier à la situation heureuse ou malheureuse dans laquelle nous vivons pour tenir compte, toujours, de la présence invisible du pôle contraire déjà en œuvre.

La transformation, tel est le secret de la sagesse millénaire contenue dans le Yi-King.

 

Source: Le guide marabout du Yi-King (1982)

Claudine ROLAND

Editions MARABOUT

Amitiés

Claude Sarfati

Discours de la tortue

 

Vers 2000 ans avant notre ère, les Shang, deuxième dynastie historique de Chine, originaire des plateaux d’Asie centrale, régnaient sur un peuple d’agriculteur dans la vallée du Fleuve Jaune.

Composés essentiellement de guerriers et de chasseurs, ils vénéraient, outre leurs ancêtres, des divinités naturelles telles que montagne, lac, brume, ravine, orage et tonnerre, feu et vent.

C’était une spiritualité chamanique basée sur la conviction que toute entité naturelle (humains, animaux, pluie, étoile) est animée par un esprit, « un Shen » et que toute action entreprise devait recevoir le consentement des invisibles.

Pour ce faire, comme dans la majorité des peuples primordiaux, on sacrifiait à tour de bras des animaux en les brûlant. Mais, pragmatiques, les sages s’interrogèrent: comment savoir si les esprits étaient contents ?

En observant les apparitions de striures sur les os, à la fin du rituel, les Shang vont émettre une hypothèse surprenante : et si le feu sacrificiel n’était pas seulement l’agent qui modifie la nature terrestre des offrandes en les envoyant au ciel, pour les transformer en aliments spirituels, comestibles pour les esprits, mais qu’en plus le rituel induisait un mouvement de rétroaction du monde de l’invisible à celui des humains par le biais de ces craquelures ?

La pratique leur a enseigné que, si tous les sacrifices ne sont pas également « rentable », en revanche, tous laissent des traces sur les os. Donc les esprits signifient de toute façon leurs réponses. Pourquoi ce sacrifice-ci est rentable, pourquoi celui-la ne l’est pas ?

Ils ont remarqué en outre que les craquelures changent selon les saisons, l’atmosphère.

Les Shang vont en déduire tout naturellement que ce qui régit la réponse n’est donc pas due à l’humeur des dieux ou à la qualité de l’offrande, mais au moment du sacrifice…

Et donc, guidés par cette intuition, ils vont muter lentement vers le choix du temps comme axe de référence et vers la qualité du moment comme unité de mesure.

En analysant les réponses a posteriori, ils vont comprendre que le sacrifice a été fait au moment adéquat ou à contretemps et en déduire que l’efficacité du sacrifice existe conséquemment antérieurement à sa réalisation.

Un nouveau cérémonial va donc se mettre en place : peu à peu, les craquelures vont cesser d’être vues comme les marques d’une volonté supérieures pour devenir simplement les indices visibles de la qualité du moment. Ce tournant va modifier les rapports que les anciens Chinois entretenaient avec leurs dieux vers une conception « énergétique » et laïque de leur spiritualité.

Premier conséquence pragmatique à la chinoise : pourquoi faire un sacrifice si la divination préalable indique que ce n’est pas le bon moment ? Pourquoi aussi faire un sacrifice si la réponse est positive ?

En déplaçant le problème de l’opportunité du sacrifice – implorer comme il faut – vers l’opportunité de l’entreprise – agir au bon moment -, ils vont se soustraire à l’arbitraire religieux pour entrer dans un univers qui fonctionne de façon raisonnable, en un réseau de concordance énergétique.

Ils vont ensuite raffiner la pratique en bricolant la théorie.

Plutôt que d’approcher les os du brasier, on va amener le feu sur l’os en tirant du foyer un brandon.

Plus important, en s’autorisant à agir sur le mode de production des signes venus du ciel, les officiants prennent une part active au processus qui les fait apparaître. Ils se posent ainsi en coauteur des signes produits dont ils savent discipliner l’apparition.

Cette mutation va se cristalliser définitivement avec l’apparition de la divination sur carapace de tortue. Pour les Chinois, la tortue est à l’image de l’univers, un modèle réduit du cosmos, avec ces deux carapaces, celle du dessus ronde et unie comme le ciel, et celle du dessous plutôt carrée et divisée en secteurs comme la terre. Utiliser la tortue c’est interroger l’univers lui-même.

Comment s’y prend-on ?

La carapace dorsale symbolisant le ciel, on utilise la carapace ventrale dont on a soigneusement raclé les chairs jusqu’à ce qu’il ne reste plus que l’écaille elle-même. Puis on la polit pour éliminer toute trace d’humidité qui, à la chaleur, altérerait les signes divinatoires et leurs interprétations.

Avec la tortue, le principal souci des officiants est d’accroître la lisibilité du résultat en réduisant et en disciplinant les multiples fissures que provoque sur la pièce l’approche de la source de chaleur – un brandon incandescent.

Plus besoins de sacrifice, pour les officiants qui se servent des tortues, on approche le tison d’un certain nombre de point dans la carapace interne et un certain nombre de craquement apparaissent sur la face externe.

Pour la première fois dans l’humanité, le hasard a été apprivoisé.

Le résultat est que les fissurations, précédemment manifestations des puissances surnaturelles, sont maintenant propriété du pragmatisme chinois qui n’hésite pas à les configurer à sa guise dans un seul souci d’efficacité.

Les Chinois sont des archivistes impénitents. A la suite de l’auguration préalable, les pièces oraculaires ne sont pas détruites mais soigneusement conservées et entreposées et finissent par constituer une énorme banque de données.

D’autant que les officiants vont prendre l’habitude de graver à côté des fissures des signes résumant comment le tirage a été fait, les conclusions qui en ont été tiré.

En examinant ces carapaces, la première chose qui retient l’attention est l’organisation globalement symétrique des différents éléments.

De part et d’autre de l’axe central se répondent deux colonnes de signes et de fissurations. Cette disposition n’est pas fortuite, la symétrie est préalable dans la direction dans laquelle on a orienté les fissures, la dissymétrie survient ensuite, résultat de la manière dont s’accomplit l’aléatoire du moment. Et de fait sur les tortues chaque brûlage est numéroté. Les fissures sont superposées. La démocratisation du processus auprès de toutes les familles chinoises de haut rang, va bientôt avoir un résultat écologique étonnant. La disparition des tortues d’eau douce en Chine septentrionale.

Fu Xi, l’inventeur génial des hexagramme ne fera en fait que recopier et interpréter en traits pleins et brisés les striures de tortue.

inspiré du « Discours de la tortue » par Cyrille J-D Javary

La transformation c’est l’immuable

Etienne Perrot

Jeunesse du Yi King

Le plus ancien livre de la Chine en est aussi le plus moderne. Le Yi King offre à l’homme une clé intemporellement neuve pour pénétrer l’énigme de son destin.

Il nous entraîne, au-delà de toute théologie comme de tout système philosophique, à un degré de profondeur limpide ou l’oeil du coeur contemple l’évidence du vrai.

L’unité est le fondement de l’univers. Mais pour être fécond, le T’ai Ki (le grand commencement) doit se sacrifier en se dédoublant , car « à partir de ce qui est parfait, rien ne devient » « Ex perfecto nihil fit » (adage alchimique)

Le monde ne nous révèle que le jeu des deux forces polaires, le mâle et la femelle, le plus et le moins, leurs épousailles et les dix mille êtres qui en sont les fruits.

Le génial créateur des hexagrammes à su ramener cette variété sans limites à un schéma mathématique enserrant la création comme un réseau, ou plutôt formant la trame qui la supporte et l’anime.

Les soixante-quatre hexagrammes groupant deux à deux les huit trigrammes obtenus en combinant de toutes les manières possibles les deux énergies primordiales constituent une image complète du monde.

Mais, comme la rose du zodiaque, le déploiement circulaire des signes inventés par Fo Hi n’a rien d’une figure statique.

C’est une succession de maisons que parcourt toute existence, qu’elle soit organique ou inorganique, individuelle ou collective. Chacune de ces demeures se compose de six éléments ou traits qui lui confèrent sa structure propre…

Est-il impensable qu’après avoir longuement considéré le ciel et la terre, le monde intérieur et le monde extérieur, un homme ait su interpréter l’interaction des facteurs opposés dans chacune de ces « images premières » et fixer ainsi sa place par rapport aux autres dans l’univers ?

Si les physiciens sont parvenus à forcer le sanctuaire de l’atome, pourquoi ne pas admettre qu’au prix d’une longue attention quelqu’un ait pu passer plus loin que la multiplicité chaotique et en percevoir les lois constantes et universelles?

Semblable vision requiert plus qu’un entraînement de l’intellect: elle implique une transformation du regard, c’est à dire de l’être tout entier, car si l’oeil est simple, tout le corps devient lumineux…

…Un savoir aussi subtil ne peut, on le comprend, s’exprimer en langage conceptuel et logique. La vision du monde qu’il traduit est aux antipodes de celles de l’occident.

Notre science est analytique: elle isole soigneusement le phénomène étudié de son contexte.

Celle de l’Orient est synthétique: elle apprend à tout embrasser d’un seul coup d’ oeil et à lire les rapports.

Dans l’immense symphonie du monde nous nous appliquons à écouter les différents instruments l’un après l’autre, nous interdisant par là de saisir le sens de la partition.

Le sage Chinois, au contraire, laisse monter à la fois tous les chants, ne négligeant pas la plus humble note de timbale ou de triangle.

Chaque être, chaque instant pris dans son intégralité est un visage du tout, une facette de l’unité indescriptible.

La transformation, dit un commentateur, c’est l’immuable

Pour transmettre cette connaissance il n’est d’autre véhicule que l’énigme, expression paradoxale qui rassemble en elle-même les opposés

où par son absurdité apparente, oblige l’esprit à interrompre son discours linéaire, fait refluer le courant mental et le contraint à traverser des couches plus profondes, plus proches de ce centre indicible où les contraires célèbrent leurs noces éternelles …

Le retour

Le retour, c’est d’abord revenir en soi, retrouver l’œuf que nous avons été dans le ventre de notre mère et de notre terre. Les contrariétés administratives s’éloignent… Le temps de la retraite est celui de la continuité en laissant derrière soi les mauvaises habitudes, c’est une nouvelle transformation.

Le cœur en est le réceptif, laissez pénétrer en soi la moindre chose qui vient faire écho puis le transmettre avec respect et simplicité.

Dans le Yi Jing, cette période correspond au printemps, la vie reprend doucement de la vigueur. Je vais devoir traverser chaque étape de cette transformation et la partager avec vous.

Cela commence par des petits changements de prix, mon nouveau statut administratif me permet d’être un peu moins fiscalisé, j’ai donc revu mes tarifs à la baisse…

Ça commence aujourd’hui et avec quelques ponctuations, cela durera jusqu’à la fin… La fin de quoi ? On verra !

Je suis très heureux de vous retrouver et de continuer le chemin avec vous.

Les pêcheurs de perles de Georges Bizet (1863)

Interprété par David Gilmour

Amitiés,

Claude Sarfati