Valdejour

Je vous propose de venir visiter le site de l’artiste peintre Val Dejour qui réalise des peintures médiumniques. Val Dejour vous invite dans un monde particulier où de belles énergies se croisent et se posent sur la toile. Le bien-être de l’être humain est une priorité pour l’artiste qui lui consacre beaucoup de temps. Son intuition lui donne la possibilité d’aller plus loin et d’entrer au cœur des énergies qui sont transcrites instinctivement sur la toile. Elle pose au travers de ses peintures médiumniques des symboles, des messages, des visages qui correspondent à la personne avec qui l’artiste s’est connectée. Val peint en canal ce qui permet aux personnes qui le souhaitent de recevoir des messages ou symboles qui interpellent. Une sensibilité se dégage de tout être humain c’est ainsi que Val capte toutes ces vibrations et les pose délicatement sur la toile avec beaucoup de douceur, d’élégance et d’esthétisme. Ainsi la peinture médiumnique que vous aurez dans votre pièce dégagera des ondes positives qui vous apporteront beaucoup de bien-être et de joie. Les peintures médiumniques de Val Dejour ne sont pas statiques, elles vivent, elles bougent. En fonction de la lumière, de la pénombre, du jour, de la nuit, de l’éclairage que vous apporterez à la toile, celle-ci vous délivrera de nombreux messages. Vous seul pourrez les comprendre, les interpréter et les utiliser pour vous recharger en bonnes énergies.
Une méditation devant une toile de Val vous procurera un agréable moment zen. Une liaison entre vous et l’artiste, un petit moment de complicité.

Aucune indiscrétion vous concernant ne sera dévoilée par Val Dejour quand elle aura réalisé votre oeuvre. Tout ce que vous aurez confié à Val Dejour restera secret. Vous disposerez d’une œuvre unique.

Dans la galerie d’art virtuelle de Val Dejour vous ne pouvez voir qu’une partie des œuvres de l’artiste peintre. Vous pouvez la contacter en laissant un message sur son site web et en utilisant la page contact. Toutes vos demandes seront prises en compte, Val répond à toutes vos questions et suggestions le plus rapidement possible.

Très belle visite sur le site de Val Dejour et à bientôt…

http://www.artistepeintre-fr.com/

En haut, Peinture médiumnique: Nuit de lune

Vous trouverez le lien du site ami Valdejour sur ce blog,

dans la catégorie: Autres liens.

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Poscriptum: Arnaud Desjardins est décédé le 10 août.

Un article lui sera consacré après le receuillement nécessaire.

Amitiés: Claude Sarfati

Le dragon voit rouge

 

Crise économique: la Chine fustige les Etats-Unis

Après la dégradation de la note américaine, les créanciers restent mesurés sauf la Chine qui appelle les Américains à arrêter de vivre au-dessus de leurs moyens.

Les créanciers des Etats-Unis ont réagi de façon mesurée à l’abaissement sans précédent de la note de la dette américaine, mais l’agence officielle chinoise, Pékin étant le premier créancier de Washington, les a exhorté à cesser de vivre au dessus de leurs moyens.

L’agence Standard & Poor’s (SP) a retiré vendredi aux Etats-Unis la prestigieuse note «AAA», dont jouissent les émetteurs d’obligations les plus fiables. Evoquant «des risques politiques» liés à l’énorme dette publique américaine, SP a abaissé la note du pays d’un cran à «AA+».

La Chine, de loin le plus grand créancier des Etats-Unis, a réagi avec vigueur, estimant que SP n’avait fait que confirmer une «horrible vérité».

Pékin, qui détenait en mai quelque 1.160 milliards de dollars de bons du Trésor américains, «a désormais tous les droits d’exiger des Etats-Unis qu’ils s’attaquent à leur problème structurel de dette», a affirmé samedi l’agence officielle Chine Nouvelle. Elle a rappelé que l’agence chinoise de notation Dagong avait déjà abaissé la note de la dette américaine mercredi.

«Les jours où l’oncle Sam, perclus de dettes, pouvait facilement dilapider des quantités infinies d’emprunts de l’étranger semblent comptés», a ajouté l’agence. Selon elle, «afin de soigner leur dépendance aux dettes, les Etats-Unis doivent rétablir le principe de bon sens selon lequel il faut vivre selon ses moyens».

Les autres pays d’Asie, premiers à réagir en raison du décalage horaire, ont fait preuve de plus de mesure.

Le Japon, deuxième créancier des Etats-Unis, a fait savoir que sa politique d’achats d’obligations américaines demeurait inchangée malgré l’abaissement de leur note.

«Notre confiance envers les bons du Trésor américains et leur attractivité comme investissement ne changera pas à cause de cette action», a déclaré un responsable gouvernemental japonais à Dow Jones Newswires.

Le Japon, qui tente actuellement par tous moyens de freiner une envolée de sa monnaie par rapport au billet vert, n’a aucun intérêt à vendre ses actifs en dollars pour le moment puisque cela ne ferait que renforcer le yen.

La France, de son côté, «a une totale confiance dans la solidité de l’économie américaine», a assuré samedi à l’AFP le ministre de l’Economie François Baroin, premier responsable européen à réagir au coup de tonnerre de la dégradation de la note souveraine de la dette des Etats-Unis.

En Corée du Sud, des hauts responsables du ministère des Finances ont tenu samedi une réunion d’urgence pour analyser les conséquences de l’abaissement de la note. Mais le gouvernement a mis en garde contre toute réaction excessive.

«Nous n’avons pas à être trop inquiets pour notre économie et pour les marchés financiers», a déclaré le vice-ministre sud-coréen des Finances Yim Jong-Yong.

Le Premier ministre australien Julia Gillard a elle aussi appelé les marchés au calme. «Dans le même temps, les deux autres grandes agences, Moody’s et Fitch, continuent de noter l’économie américaine AAA. Donc je pense que les gens doivent prendre en considération la totalité des faits», a-t-elle déclaré.

Aux Philippines, un porte-parole de la présidence a estimé que l’abaissement de la note par SP était «dans une certaine mesure une piqûre de rappel pour que les Etats-Unis commencent sérieusement à s’attaquer à leurs problèmes économiques. Nous avons confiance dans leur capacité à le faire».

L’annonce de SP est intervenue alors que les marchés étaient fermés pour le weekend après une semaine tumultueuse.

La plupart des indices boursiers mondiaux ont lourdement chuté jeudi et vendredi en raison d’inquiétudes liées à la santé économique des Etats-Unis et à la crise de la dette en zone euro.

Selon Yeah Kim Leng, économiste au cabinet d’études financières RAM Holdings, de nouveaux remous sont à prévoir lundi.

«Bien sûr, les incertitudes sont plus grandes maintenant. Certains investisseurs qui se fient à la note AAA vont avoir besoin de vendre, donc le marché connaîtra certains ajustements», a-t-il pronostiqué.

(Source AFP)

Rouge de Jean-Jacques Goldman

Vidéo: Lien

Dans quel état sont les états?

Bonnes réflexions: Claude Sarfati

Le lait de la tendresse humaine (hommage à David Servan-Schreiber)

David Servan-Schreiber, ici avec son chat abyssin Titus, estimait que les animaux jouent un rôle apaisant très bénéfique.

…Oui, il fallait se mettre aux pommes bio, car la peau concentre les pesticides ; non, pour les oranges, c’était moins grave, l’enveloppe épaisse est protectrice.

David Servan-Schreiber suivait, avec une pointe de jusqu’au-boutisme, un régime anticancer. Celui qu’il préconisait dans ses ouvrages, Guérir et Anticancer. Il faisait du sport, de la méditation. Mais dans son livre d’adieux, On peut se dire au revoir plusieurs fois, il reconnaissait avoir négligé une règle fondamentale : ne pas stresser, trouver le calme intérieur. Il estimait que c’était la cause probable de sa rechute, lui qui courait le monde, faisant fi des décalages horaires chahutant son organisme. Son décès est survenu dimanche en Normandie, à l’hôpital de Fécamp. Non loin de la maison de famille de Veulettes-sur-Mer qui réunit depuis toujours les Servan-Schreiber : son oncle Jean-Louis, fondateur de Psychologies magazine ; sa tante Christiane Collange, écrivaine ; et autrefois son père Jean-Jacques, fondateur de l’Express.

Une longévité exceptionnelle

David Servan-Schreiber est mort à 50 ans, vingt ans après la découverte de sa tumeur au cerveau. Ironie du sort, ce neuropsychiatre, qui exerçait à Pittsburgh, aux États-Unis, l’avait repérée par hasard, lors d’expériences dans le cadre de son travail. Opéré, il avait mis au point pour lui cette stratégie anticancer démocratisée dans ses livres. Des méthodes naturelles qui, insistait-il, complétaient la chimiothérapie, la chirurgie. Ses théories avaient trouvé un écho retentissant. Traduits en une trentaine de langues, ses livres se sont vendus à trois millions d’exemplaires. Il avait aussi été actionnaire d’une société vendant des gélules à base d’Oméga 3, des acides gras qu’il préconisait dans l’alimentation, ce qui lui avait été reproché.

Dernièrement, il répondait à ses détracteurs que, malgré sa fin toute proche, il avait eu une longévité exceptionnelle. Qu’aucun traitement n’est infaillible, qu’il fallait mettre tous les atouts de son côté. Il militait pour une médecine humaine, reconnaissant avoir changé d’attitude avec ses patients lorsqu’il s’était su malade.

Il disait aussi que, même si sa mort était prématurée, il avait la satisfaction d’avoir eu une vie riche. Et n’avait qu’un regret : devoir quitter ses proches, sa femme, Gwenaëlle, et ses enfants, Sacha, 16 ans, Charlie, 2 ans, et Anna, 6 mois.

Voici un extrait tiré du livre On peut se dire au revoir plusieurs fois, publié aux éditions Robert Laffont, p. 57 à 60.

À la première question soulevée par mon état de santé : « Ma rechute entame-t-elle la crédibilité de la méthode anticancer? », je réponds catégoriquement non.

D’abord parce que je ne suis pas une expérience scientifique à moi tout seul, je suis un cas clinique parmi d’autres. Les expériences scientifiques brassent les données de milliers, voire de dizaines de milliers de cas cliniques. Les considérations, les recherches, les conclusions, les preuves que j’ai présentées dans Anticancer ne sont pas fondées sur mon expérience personnelle, mais sur la littérature scientifique.

Ensuite parce que tous les traitements, qu’ils soient classiques ou expérimentaux, présentent des taux de réussite et des taux d’échec. Il n’y a pas de « cure miracle » contre le cancer, pas de réussite à 100 %, même en médecine conventionnelle, dont on ne compte plus les prouesses. Il n’existe pas de méthode infaillible, pas de chirurgie ni de chimiothérapie qui réussisse à tous les coups. Pas étonnant donc de constater qu’aucun régime alimentaire, aucun entretien de la condition physique, aucune technique de gestion du stress ne soit à même d’éliminer la possibilité d’une rechute.

En revanche, il existe des moyens pour chacun de maximiser ses défenses naturelles en prenant soin de son état général, physique et mental. On peut mettre tous les atouts dans son jeu. Mais le jeu, lui, n’est jamais gagné d’avance.

Que ces méthodes accessibles à chacun renforcent réellement le potentiel naturel d’autodéfense ne fait aucun doute. De nombreuses recherches en ont apporté la preuve de façon indiscutable. Il y a heureusement des médecins et des hôpitaux qui le reconnaissent. Quand les médecins de Cologne ont décidé de m’opérer en urgence, pas une seconde ils ne m’ont dit : « Alors, ça ne marche pas vos brocolis! » Au contraire, ils m’ont assuré : « Si vous faites tout ce que vous décrivez dans votre livre, vous avez toutes les chances de vous en sortir. »

J’ai beaucoup apprécié cette attitude. Les patients qui se mobilisent pour renforcer leurs propres défenses ont besoin que leurs efforts soient reconnus comme valides. Au lieu de quoi, on entend trop souvent dire : « Faite ce que vous voulez en complément, ça ne fera ni bien ni mal. » Or, c’est faux, scientifiquement faux. Tout mon combat est là. Il existe des tas de « choses » que l’on peut faire légitimement en parallèle avec les interventions de la médecine conventionnelle. Ces « choses » que j’appelle les méthodes anticancer font objectivement beaucoup de bien. Elles contribuent objectivement à l’amélioration du malade, à l’efficacité des traitements, à l’atténuation de leurs effets secondaires, à l’allongement des périodes de rémission et à la diminution des risques de rechute.

Il est par exemple parfaitement établi que l’activité physique permet de supporter beaucoup mieux les chimiothérapies. Du coup, les médecins ne sont pas obligés de réduire les doses, ce qui concourt directement à l’efficacité du traitement! Idem pour la radiothérapie, pour la récupération après la chirurgie. Les méthodes qui permettent de mieux gérer le stress ont pour effet, c’est prouvé, de réduire les nausées. Les approches anticancer sont en réalité des instruments de santé de premier ordre. Il est inacceptable de ne pas en informer les malades.

 

Amitiés: Claude Sarfati

Des Unicornes bleus

Pour ce qui est des vacances, le plus dur c’est de les préparer.

Surtout ne pas oublier de remplir la valise de toutes ces choses qui ne nous serviront pas.

Les adresses de tous les amis qui ne recevront pas de cartes postales.

L’appareil photo qui fabrique les souvenirs .

La voiture…Quelle sera la panne?

Les sous: un pour ceci, un pour cela, y’en a jamais assez!

Commencer à se vider la tête, retrouver le poids à vide.

Le soleil, la crème, les lunettes, le chapeau.

La pluie, on oublie.

Des souliers?

Un livre, lequel?

Bon t’es prêt…

ça va, j’arrive…

…Attends, et la musique?

Allez à bientôt, un petit tour à Versailles (deux mots à dire à Louis).

Puis: le sud, la maison familiale, boire du silence à la santé des enfants…

La nuit, des animaux étranges viennent sous ma fenêtre,

des Unicornes, des Unicornes bleus… ils viennent de loin, plus de dix mille ans..

Musique: Silvio Rodriguez, Mi Unicornio azul.

 De retour le 15 juillet, bon pied et surtout (le métier l’exige) bon œil;-)

Amitiés: Claude Sarfati.

Un enfant de Calabre

1960. Rome et l’Italie tout entière se préparent à vivre à l’heure des Jeux Olympiques. Dans la sauvage campagne calabraise, un petit paysan, Mimi, n’a qu’une passion, courir, encore et toujours bien que son père, Nicola, ne soit pas d’accord. Pour lui, le seul avenir de son fils ce sont ses études et le travail de la terre.

« On voit ce qui a pu séduire Comencini dans cette histoire : la volonté d’un enfant d’affirmer son autonomie face aux adultes, de se faire reconnaître dans son identité longtemps offusquée par des millénaires d’assujettissement des enfants aux choix que les parents font à leur place, d’échapper à la condition de bête de somme à laquelle on aurait voulu le réduire. A cet égard, la séquence du travail de Mimi dans une corderie, atelier qui ressemble davantage à un lieu de bannissement et de travaux forcés qu’à une entreprise destinée à donner un emploi à des êtres humains, en dit long sur la volonté de Comencini de dénoncer un scandale : le travail des enfants en lieu et place de la scolarisation, problème typique d’une Italie méridionale et d’une économie souterraine qui considèrent déjà l’enfant sous l’angle de la capacité productive.

Dans sa rigueur, sa concision, son émotion juste, son optimisme aussi, Un enfant de Calabre rejoint les réussites majeures de Comencini, La Finestra sul luna park, L’lncompris, Casanova, un adolescent à Venise, Pinocchio, Eugenio, pour ne citer que des films ayant au centre de leur propos la destinée fragile des enfants, leur difficile recherche du bonheur. » (Jean A. Gili)

Italie, 1987
1h46

Réalisation : Luigi Comencini
Scénario : Luigi Comencini, Ugo Pirro
Photographie : Franci Di Giacomo
Musique : Antonio Vivaldi
Interprètes : Gian Maria Volonte, Diego Abatantuono, Thérèse Liotard, Santo Polimeno, Giada Faggioli, Jacques Peyrac, Enzo Ruoti

Luigi Comencini est le réalisateur italien sur l’enfance, il sait nous montrer que nos vrais rêves viennent de notre enfance. Rien, si ce n’est nous-mêmes, ne peut nous empêcher de les réaliser.

Bonne écoute, ce film ne peut se trouver en dvd que dans la version italienne..

Amitiés: Claude Sarfati.