Je vous présente mes meilleurs vœux.
Que cette nouvelle année vous apporte Santé, Harmonie, Prospérité.
Et, bien-sûr beaucoup d’Amour!
Amitiés
Claude Sarfati
Je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d’année.
Ensoleillé dans vos cœurs, dans vos esprits.
Profitez, partagez (sans modération) de l’amour.
Film réalisé par Philippe Claudel
Musique: La Tarentelle, Christine pluhar
Absent du 23 décembre 2024 au 05 Janvier 2025 inclus,
vous pouvez tout de mêm e reserver vôtre consultation,
faire votre tirage de Yi King…
Dés mon retour, je vous contacterai…
Joyeuses fêtes: Claude Sarfati.
Lauréat du guide de la voyance en 2006 pour la première fois , je suis
touché d’être récompensé à nouveau pour la sélection 2025 des
praticiens qualitatifs par le Guide de la Voyance. Les consultations
pratiquées par téléphone, Internet ou en Cabinet se sont étoffées grâce
à votre reconnaissance. Cette sélection me rassure aussi sur le sérieux
que je donne à chacune de mes consultations, en évitant les pièges tels
que répétition et routine . Chaque consultation reste différente,
particulière, même si les situations se réitèrent parfois, chaque
consultant étant une personne avec ses singularités. Le pari lancé de
mêler Tarot de Marseille et Yi Jing était audacieux , en particulier pour
l’outil chinois qui, malgré sa pertinence reste peu connu en France.
Aujourd’hui bon nombre de mes consultants ont pu apprécier cet Art qui
n’est pas exclusivement « divinatoire » .
Merci beaucoup à la rédaction du Guide de la Voyance pour cet
encouragement qui m’incite à poursuivre avec persévérance dans ce
domaine professionnel .
Merci à toutes les personnes qui me font confiance pour les guider sur
leur chemin. Le travail se poursuit et même si je me suis installé à Fleury
(Aude) en 2024, je continue à consulter régulièrement à Chalons en
Champagne. N’hésitez pas à m’appeler au 06.59.45.03.09 pour vous
donner les informations utiles.
Amitiés
Claude Sarfati
Qu’est-ce que la Tenségrité?
La tenségrité est le nom donné à la version moderne des passes magiques: positions et mouvements du corps et respirations qui ont été rêvées et traquées par des hommes et des femmes voyants qui vivaient au Mexique dans les temps anciens, et enseignées à Carlos Castaneda, Florinda Donner-Grau, Taisha Abelar et Carol Tiggs par leur maître, don Juan Matus, un indien Yaqui de Yuma Arizona et de Sonora, Mexique, et l’héritier d’une lignée de voyants originaire du Mexique ancien.
Le mot Tenségrité est emprunté à un architecte, ingénieur et rêveur que Carlos Castaneda connaissait et admirait : R.Buckminster Fuller, qui décrivait la tenségrité comme une combinaison d’intégrité tensionnelle, les forces au travail dans une structure qui est formée par un réseau fini de compression, ou éléments rigides interconnectés par des éléments tensionnels, ou élastiques qui donnent à la structure son intégrité générale. A cause de cette propriété élastique des interconnections, quand un élément de la structure de tenségrité est déplacé, ce mouvement est transmis à travers l’ensemble de la structure, et tous les autres éléments se déplacent aussi, ou s’adaptent à une nouvelle configuration, s’adaptant à ces mouvements sans se rompre.
Carlos Castaneda a trouvé que ce processus, la tenségrité, est une description énergétique parfaite de la pratique moderne des passes magiques et de la manière d’être que don Juan Matus lui a enseignée. Dans le cas des passes magiques, la Tenségrité se réfère aux jeux de tension et de relaxation des tendons et des muscles, et à leurs contreparties énergétiques, d’une manière qui contribue à l’intégrité générale du corps en tant qu’unité physique et énergétique. Dans le cas de la vie quotidienne, disait Carlos Castaneda, la Tenségrité est un art: l’art de s’adapter à sa propre énergie, et à l’énergie de chacun des autres d’une manière qui contribue à l’intégrité de la communauté que nous sommes.
« Rechercher la perfection de l’esprit du guerrier est la seule tâche digne de notre existence temporelle et de notre âge d’homme » Carlos Castaneda
Editions Broché
Bon dimanche: Claude Sarfati
Un autre aspect important du travail avec les disciples était la maîtrise de la pause mentale ou, en d’autres termes, l’arrêt du dialogue intérieur (le premier terme est plus approprié, car avec les dialogues intérieurs il y a aussi les monologues intérieurs).
C’est un préalable absolument nécessaire à la maîtrise du nagual, car le nagual est maîtrisé au moyen de la méditation, et la méditation, comme Rajneesh l’a si bien dit, est l’état de non-mental. C’est-à-dire, pour apprendre à immerger la conscience dans le nagual, on doit apprendre à cesser, à couper le mental.
Afin d’atteindre la pause mentale, don Juan employait les techniques suivantes:
1. Drogues psychédéliques. Il devrait être noté, cependant, que don Juan a employé cette méthode seulement au début de leur travail commun, et l’a abandonné plus tard. En second lieu, Castaneda s’est plaint après que bien qu’il ait été immensément reconnaissant à don Juan pour tout ce qu’il avait fait pour lui, néanmoins son foie (de Castaneda) était encore marqué par des cicatrices. Par conséquent, il est absolument non recommandé de suivre leur exemple quant à l’emploi de drogues psychédéliques. D’autant plus qu’il y a d’autres moyens bien plus efficaces et plus inoffensifs afin de maîtriser la pause mentale à notre disposition.
2. Regarder fixement. On devait regarder fixement un certain objet pendant longtemps, par exemple, un ravin, le courant de l’eau, et ainsi de suite. En conséquence, la première attention devenait épuisée laissant place à la deuxième attention.
3. Suspension prolongée de son corps sur des appareils comme une balançoire.
La formation mentionnée ci-dessus résultait en l’atteinte de l’état appelé wu-wei dans le yoga chinois — non agir, c’est à dire non agir sur le plan physique, quand le mental (manas) s’arrête, alors nous obtenons l’occasion pour la méditation dirigée, pour l’activité de la bouddhi (conscience). Manas et bouddhi sont en interrelations: ils ne peuvent agir simultanément; à tout moment un seul d’entre eux fonctionne. (Ce qui ne signifie pas qu’une personne sans corps ou en état de méditation perd la raison. Non. Une conscience développée cristallisée pense. Mais elle pense d’une autre manière, pas d’une manière terrestre).
Une autre technique unique qui a été développée dans cette École par les prédécesseurs de don Juan est l’interaction intentionnelle avec des personnes-tyrans. La technique était utilisée pour l’accomplissement de l’impeccabilité du guerrier, c’est-à-dire la capacité de suivre des principes éthiques et d’adhérer à la stratégie du comportement objectivement valide dans des situations d’urgence. Autrefois dans le passé don Juan lui-même a été envoyé par son professeur à un féroce contremaître-tyran pour une telle formation. Au Mexique de telles personnes étaient considérées très rares, et d’en trouver un était considéré comme une grande chance par les guerriers.
… Maintenant, énumérons les méthodes de travail psycho énergétique utilisé dans l’École de don Juan:
1. Nettoyage de la luminosité intérieure ( le raffinement de la conscience).
2. L’utilisation de lieux de puissance — des zones énergétiquement favorables à la maîtrise de méditations particulière.
3. Rêver-ce à quoi l’on a donné beaucoup d’attention dans le travail de l’École. Qu’est-ce que c’est? Beaucoup de personnes, ayant lu les livres de Castaneda, essaient d’employer leur sommeil à cette fin sans succès. Non, ceci n’est pas la manière que cela doit être fait. Rêver est un synonyme du mot méditation. Du au fait qu’ils n’étaient pas au courant des termes généralement admis dans les autres pays, les Amérindiens d’Amérique Central ont dû trouver leurs propres mots pour dénoter des techniques, phénomènes, et objets de la pratique spirituelle. C’est la façon dont le terme rêvé est né, puisque les images méditatives ont des similitudes avec les images que l’on voit dans les rêves.
La formation spéciale en rêvant permettait aux disciples, en état de détachement du corps, de courir sur les murs, de s’élever le long des faisceaux d’énergie (les lignes du monde), et ainsi de suite.
4. Apprendre à agir dans des situations magiques extrêmes, intentionnellement créées par le maître. À cette fin, les vices moraux des disciples étaient employés. À ces fins, si un disciple avait une inclination à attaquer égoïstement d’autres personnes, on lui suggérait de participer à un combat magique qu’il perdrait à coup sûr. Et cela s’avérait salutaire pour tous les participants.
5. La technique de changement du point d’assemblage par l’impact énergique du maître (cela est appelé le coup nagual; le terme nagual avait une autre signification dans ce cas-ci: un chef qui maîtrisait le nagual était capable d’agir en lui et sur lui).
6. Pratique méditative de la mise à niveau des émanations d’énergie à l’intérieur du cocon en accord avec les émanations externes des plus hautes dimensions spatiales.
7. Le travail avec le hara visait le développement de l’aspect de puissance.
8. L’utilisation d’alliés (c’est-à-dire, d’esprits). Cela était fait en deux variantes.
La première — l’apprivoisement des esprits qui devaient, selon les plans, devenir des aides et des protecteurs du sorcier. Don Juan et son ami Genaro ont eu de tels alliés au commencement de leur recherche spirituelle.
Mais chacun doit être averti que c’est une pratique incorrecte et dangereuse, que nous ne devrions nullement essayer d’imiter. D’ailleurs, don Juan et Genaro ont renoncé à cette pratique plus tard.
L’autre variante du travail avec les alliés consistait à les chasser. Il n’est pas étonnant qu’une telle pratique ait été inventée par les Amérindiens qui vivaient en contact constant avec la nature. Ainsi, on disait aux disciples qu’à un certain moment ils étaient certains de trouver un allié sous la forme humaine masculine qui les défierait au combat. On peut perdre ce combat, laissant place à la peur, ou on peut le gagner. Dans le dernier cas, le guerrier acquiert la puissance de cet esprit.
Et les disciples se préparaient pour un tel combat, qui pouvait avoir lieu à n’importe quel moment, en développant la vigilance (vivacité) et d’autres qualités nécessaires aux guerriers.
Sur la base de ce jeu éducatif, les disciples effectuaient, en particulier, le travail de développement de la bulle inférieure de perception.
Bon dimanche: Claude Sarfati