Nos plus beaux souvenirs,
Lorsqu’ils viennent depuis notre enfance,
Nous ramènent au cœur de nous-mêmes.
Grandir est une expérience parfois violente, douloureuse.
Accueillons l’enfant que nous étions,
Que nous sommes encore,
Et celui qui nous tend les bras.
Le retour vers notre âme d’enfant,
est le début de la sagesse paraît-il…
Cap ou pas cap ?
Sébastien parmi les hommes de Cécile Aubry (1967)
Bon retour: Claude Sarfati
Bonjour Claude,
Depuis toujours, nos anciens ont considéré que nous restions à jamais des enfants .Quand ils parlaient de quelqu’un, le dialogue commençait invariablement dans ce sens :
Untel ou Unetelle est le fils ou la fille de ……
quelque soit l’age,ceci principalement dans les campagnes .
De nos jours bien que la communication intergénérations ne soit plus de mise, il n’en reste pas moins que nous restons
enfant de :
Ce qui nous permet de nous situer en tant qu’adulte, à condition que notre enfance ne soit pas la compagne de souffrances .
Ces racines sont importantes dans notre construction affective et psychologique,afin de transmettre le flambeau à nos enfants .
Même si l’éloignement est important, prenons le temps de leur rendre visite ,ils nous rappelleront des anecdotes relatives à notre enfance et la nous oublierons qu’ à notre tour, nous sommes adultes .
Dans leur regard à l’orée de la la vieillesse, nous retrouverons, ce petit côté espiègle lié à l’enfant qu’il fut et restera à jamais .
Et puis après tout gardons cette ame d’enfant , la vie est trop sérieuse, prenons encore le temps de rire de faire des blagues comme au temps de l’innocence , de vivre tout simplement.
Sachons que nous ne sommes pas abandonnés, dans l’ombre et la lumière, une bienveillante protection nous est accordée .
Amitiés
Adélaïde
Très bel article, beau blog.
Article très poétique.
J’aime beaucoup votre blog.