Hier on se regardait à peine
C’est à peine si l’on se penchait
Aujourd’hui nos regards sont suspendus
Résidents, résidents de la république
Où le rose a des reflets de bleu
Résidents, résidents de la république
Chérie, des atomes, fais ce que tu veux…
La poésie est voyante, elle crée des miroirs où chacun peut se retrouver.
Les poètes sont des aventuriers des mots, il doivent les traquer dans des régions imaginées.
Alain Baschung part vers des routes inconnues et nous quitte sur ce chemin partagé…En nous laissant nos rêves.
Mais après tout,
Che pa pa pa, che pa…
A bientôt: Claude Sarfati
En toute honnêteté, je ne peux pas me définir comme un fan de Bashung…
Même si j’apprécie sa qualité artistique.
Néanmoins il faut bien reconnaître que « Bleu Pétrole », qui restera hélas son dernier opus, est un album par lequel il noue avec une nouvelle maturité.
Il aurait même pu être très prometteur et nous mettre l’eau à la bouche pour les titres suivants si le destin ne nous avait pas ôté l’homme un peu trop tôt !
Cette curiosité ne sera donc jamais satisfaite et c’est bien dommage…
Étrange coup du sort que de devoir tirer sa révérence sur son meilleur album.
moi j’aime Gaby